[Mariage] Serments d'Amour

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

Engherran a écrit:: Peran

Peran était arrivé quelques jours auparavant afin de retrouver son frère et de faire connaissance avec la future épouse et la jeune fiancée était vraiment une femme superbe. En plus de posséder une beauté rayonnante, Dam' avait la générosité, la gentillesse, la douceur et la passion. Elle était amoureuse et cela se lisait dans son regard couleur du printemps. La future épouse respirait le bonheur et avait su redonner à son Loup de frère cette joie de vivre qu'il avait perdu il y a bien longtemps, bien avant la disparition de Laki. Elle avait également accrocher un sourire sur les visages de ces deux nièces, les très jolies Laurelyne et Seren. Pour tout cela, il l'aimait déjà comme une soeur.

Le Loup et la Biche d'Embrun avait choisi pour lieu de leu union une petite clairière dans les bois de la seigneurie d'Autrans. Il voulait quelque chose de simple, mais il s'agissait de leur union, du moment où ils prononceraient leurs serments d'Amour, en rien ce moment serait "simple". Le Barde avait préparer tout ce dont il aurait besoin. Sur un petit "autel" recouvert de bruyère, de chèvrefeuille ou encore de branchages de buis, de châtaigner, de frêne, il avait posé une petite vasque d'argent et deux coupes faites dans ce même métal ainsi que différentes petites choses. Il n'y avait plus qu'à accueillir les amis et invités, le témoins et les deux Amants. Pour attendre, Peran s'installa sur une pierre et commença à jour un air de flûte.

Arthas a écrit:: Arthas avait suivit Garin jusqu’à la clairière petite mais d'une beauté magnifique qui se laisse surprendre . Il l'avait suivit jusqu'à ce qu'il entende une musique magnifiquement jouée par un homme installait sur une pierre qu'il alla salué de suite tout en écoutant la douce symphonie .

Bonjour Sieur, je me présente
Arthas.
Enchanté de vous rencontré . Vous nous procuré la une magnifique musique .

Il s'installa alors a côté de l'homme, adossé a un arbre en attendant d'autre invité et amis de Eng' . Il regardait cependant la beauté du lieu tout en se laissant emporter par la musique de l'homme . Garin repartit dans la direction de l'entré, surement pour allé cherché les autres invité .

Lora de Sinard a écrit:: Lora,sur les conseil de Garin,avait trouvé ,ce merveilleux endroit de verdure,un petit bois ombragé,ou allait se dérouler l'union de ces adorables amis le Chevalier Engherran de Kerbleiz,Seigneur d'Autrans.Un grand honneur pour elle de les assister ,sous le regard bienveillant de le déesse d'argent.Elle approchait très tranquillement,et plus sereine que ces jours passés,ou son cœur avait été bien malmené.Une musique ,aussi douce a ses oreilles,que le chant mélodieux des anges,un air de flûte,mais qui jouait de cet instrument ?

Quelle ne fut sa surprise,Peran,le frère tant aimé,bien longtemps quelle ne l'avait point croisé ,lui l'homme de la forêt,le solitaire,avec qui elle avait échangé quelques mots au bal du carnaval ,en la belle ,la sauvage, douce cité embrunaise.Elle s'approcha.Arthas était arrivé.

Bonjour Arthas, ravie de te retrouver,cet endroit est magnifique. se penche et lui donne une bise

puis s'adressant a Peran

Peran,que je suis heureuse de vous voir,vous vous faites si peu présent en notre belle cité.

Quel bonheur de me joindre a votre famille pour célébrer l'union de mes amis,mon cher Engherran et sa douce biche Dam.

Puis elle se tut laissant Peran finir cette douce et jolie mélodie.

helsinki. a écrit:: Helsinki avait attendu Gaelle, sa fille adoptive qu'il chérissait tant , et pour qui ila vait un si grand respect. peu à peu et surtout depuis qu'elle avait grandi les liens s'étaient transformés en une indéfectible amitié.
Il avait traversé un petit bois, puis était arrivé sur le lieu du mariage.
Il espérait beaucoup de ce moment loin de tout souci.
Il salua les personnes présentes .

Bonjour
Tiens vous ici Lora, cela me fait plaisir de vous voir icelieu.

Il salua respectueusement les autres personnes.

Arthas a écrit:: Arthas vît arrivait Lora qu'il bisa .

Moi aussi sa fait plaisir de te voir ici .

Puis il vît arriver Helsinki il fît quand même un salue militaire pour se présenter a lui .

Mes respect Capitaine,
Troupier Arthas,
à vos ordres .
Enchanté de vous rencontré, depuis le temps que j'entend parlé de vous et en bien .

Engherran a écrit:: Peran

Peran avait vu arriver le jeune homme et l'avait saluer d'un courtois signe de tête, mais il ne s'était pas pour autant arrêté de jouer. Il continua à jouer cette mélodie venue d'Irlande jusqu'à ce que la belle Lora fasse son entrée dans cette clairière aux serments. Le barde termina son air de flûte avant de se lever et de s'incliner comme il avait l'habitude de le faire après une représentation musicale.

Bonjour jeune homme. Je suis Peran, Barde de mon état et frère du chevalier Engherran de Kerbleiz. Des frères de coeur et non de sang, nous avons grandit ensemble sur nos terres de Bretagne.
Enfin je vais éviter de me lancer dans l'évocation des souvenirs de notre enfance commune, je vais réserver les anecdotes croustillantes à la future épouse, dit-il en riant.

Je vois aisément à votre prestance que vous avez l'allure du soldat, mais au vue de votre jeune âge, je dirais que vous êtes entré tout récemment au sein de la grande famille militaire. Je suis donc ravi de vous rencontrer Arthas, dit-il en lui serrant la main.

C'est moi qui vais avoir la chance de célébrer leur union.

Mais je manque à toutes les courtoisies. Comment vas-tu ma douce Lora ? Tu es toujours aussi magnifique et rayonnante et en ce jour si particulier, dans ce soleil couchant, ta beauté illumine cette clairière. J'espère tout de même que tu ne vas pas voler la vedette à notre mariée, mais généreuse comme tu es j'en doute. Vous semblez d'ailleurs très amies Dam' et toi. Non ?
C'est vraiment une jeune femme magnifique, elle est merveilleusement belle et elle a la douceur et la tendresse dont Engherran a toujours eu besoin. Et puis entre nous, dit-il en s’approchant d'elle sur le ton de la confidence, je crois qu'elle est plus que follement éprise de notre Loup. Qu'en penses-tu ?
Enfin quoi qu'il en soit, je suis heureux pour eux. Et j'aime déjà cette jeune femme. Elle a su illuminé de sa lumière le coeur ravagé de mon frère.

Enfin donc comme je vous disais Arthas, c'est mois qui vais avoir le privilège, que dis-je, l'immense honneur de célébrer l'union de Dam' et Engherran. En effet, voyez vous, je ne suis pas un simple ménestrel ou troubadour, je suis bien plus que cela, je suis un barde. Et dans notre Bretagne natale, mais aussi sur les terres de nos ancêtres, les gens comme moi n'étaient pas que de simples musiciens. Ils étaient dépositaires de savoirs ancestraux et faisaient partis intégrante de la vie religieuse. Aujourd'hui, je suis l'un des derniers bardes et gardiens de ses savoirs. Par conséquent je suis le plus à même pour marier nos deux amoureux.

Capitaine ? Un autre soldat et non des moindres. Vous devez donc être Helsinki ? Engherran m'a beaucoup parlé de vous. Enfin beaucoup ... par rapport à moi on le trouverai fort peu loquace. Je suis donc Peran, le frère du chevalier comme je viens déjà de le dire. Quoiqu'il en soit je suis honoré de vous rencontrez, affirma-t-il en lui serrant la main.

Voilà je parle, je parle et vous me laisser poursuivre sans rien dire. Il faut pas hésiter à me faire taire, sinon je ne m'arrête jamais. On me dit très bavard, mais en réalité la parole est un outil de travail pour moi, comme la charrue pour le paysan ou l'épée pour le chevalier. Sans parole je serai bien ennuyé, puisque tout me savoir doit se transmettre à l'oral. On dit que les mots on du pouvoir quand on sait bien les utiliser. Alors imaginez si j'avais une extinction de voix. Certains dirait assurément quelle joie, mais pour moi ce serait un véritable calvaire, dit-il en riant.

Lora de Sinard a écrit:: Bonjour Capitaine Helsinki,bien sure que je suis là,pour rien au monde je n'aurais voulut manquer l'union de mes deux merveilleux amis,Engherran et Dam' qui dans quelques heures deviendra Dam de Kerbleiz :)je suis ravie de vous retrouve rpour cette belle cérémonie.

Puis se tournant vers Peran

Mon cher Peran,je vais ,disons mieux,ces jours derniers ont été un peu difficiles,j'ai rompu avec l'homme qui m'avait fait serment de m'aimer toujours,mais il m'aimait bien mal,enfin ,je ne suis pas la pour me lamenter,la vie continue.

Je te remercie Peran,toujours aussi gentil et flatteur ;)voler la vedette ,tu me taquines ,regarde notre douce Dam, elle est magnifique,son visage oui resplendit de douceur,son âme est belle.Tu vas l'adorer comme nous tous.

Nous nous apprécions et nous aimons beaucoup ,je retrouve en elle, une sœur ,elle me fait penser a mon cher ange Morgonde,ma jeune sœur disparut trop tôt et qui était ma seule famille.

Ce que je pense , mon cher ami ,Peran,c'est que cette jeune femme , oui est follement amoureuse de son loup,comme lui l'est de sa douce biche,a oui sur Embrun,nous avons un abécédaire,représentant pour les villageois un animal ,voila pourquoi je te parle de loup et de biche.

Arthas,qui est présent parmi nous est un tout jeune soldat,,promu Troupier dans notre garnison de la Durance,et je suis fière de l'avoir recruté,son parcours a l'école militaire a été sans une faille.

J'espère que mon cher cousin adoré ,Chriskhan de Huy ne tardera pas,je souhaite de le présenter,il est charmant.

Que je suis bavarde Peran,ça c'est légendaire,pour m’arrêter ,il faudrait me bâillonner,tu demanderas a ton frère.

Je souhaiterais que tu me fasses une promesse ,celle de passer de temps a autre sur notre belle cité embrunaise,tu nous manques ....

Chriskhan de Huy a écrit:

Chriskhan de Huy avait chevauché toute la nuit afin de rejoindre la Seigneurie d'Autrans éloignée de son domaine de Quebechuy...
Ce long chemin lui avait permis de mettre bien de l'ordre dans ses idées ; ces derniers mois avaient été riches en rencontres nouvelles mais le souvenir d'un passé encore proche lui revenait encore à la mémoire... Une union aussi belle qu'elle était annoncée lui mettrait certes le coeur en ébullition. Une nouvelle donnée faisait aussi son chemin...

Il arrivait à destination ; face à lui une clairière se profilait et des
silhouettes connues se dessinaient . Il se dirigea donc
vers ces visages familiers. Un garde posté à l'orée lui demanda
la raison de sa présence icelieu. Chriskhan lui montra son
invitation du Maître des lieux.
Le garda lui céda donc le passage !

Chriskhan aperçut alors sa Douce Cousine ! Enfin "douce" Laughing

quand on ne lui cherchait pas querelle... Sous ses gants de velours
la Belle pouvait cacher des griffes acérées pour ceux qui oseraient la titiller...

[Mariage] Serments d'Amour Personnages0252

Cousine Adorée mon bonjour mes respects et cette petite fleur cueillie sur mon parcours. Je vous remercie pour ce pigeon reçu pendant la nuit ; il me rappela que j'ai parfois la mémoire courte...

Ma Douce il me tarde de rencontrer Messire Engheran et sa Tendre Dame auriez-vous la gentillesse de me conduire à eux. Vous le savez, je ne connais pas grand monde encore en ce Duché...

Lora de Sinard a écrit:: Mon cher cousin,vous avez donc reçu ma missive,en effet ,je vous connais et cela vous arrive d'oublier,et là pour cette soirée merveilleuse ,qui nous attend ici même a la nuit tombée,il aurait été fort déplaisant que vous eussiez loupé ce rendez vous ,je suis heureuse de voir ,que votre voyage jusqu’à Autrans ce soit bien passé

Merci mon cousin chéri,ce bouquet de fleurs des champ est tout joli.

Je vois que vous, ne vous êtes pas présenté a l'entrée,la est la clairière ou sera célébré ce soir par messire Peran,le frère du Chevalier Engherran de Kerbreiz,l'union de nos deux amis sous le regard bienveillant de la déesse d'Argent.

s'adressant a nouveau à Peran

Peran, mon cher ami,j'ai le plaisir de vous présenter,mon ami,mon cousin et mon frère d'Armes,messire Chriskhan de Huy.

Chriskhan ,je vous accompagne ,,quand vous le jugerez bon a l'entrée du domaine,ou vous vous présenterez au garde , reposez vous car ce soir ,nous veillerons tous surement une grande partie de la nuit cousin chéri.

Chriskhan de Huy a écrit:: Il en sera donc fait ainsi ma Cousine.. Allons, je vous suis !

gaelle a écrit:: Gaelle arriva et vit son pére qui l'attendait , elle se dirigea vers se pére qu'elle chérissait de tout son coeur et vint déposer un tendre baiser sur sa joue .
Elle avait beaucoup de respect pour son pére adoptif , il était toujours là pour elle dans les bons et les mauvais moments , il l'avait aider à grandir et à devenir ce qu'elle était, et elle lui en était reconnaissante.
Il s'était établit entre eux une entente parfaite, une grande et profonde amitié s'était vite établit entre eux et plus elle grandissait plus elle savait que cette amitié serait incassable.Elle chérissait son pére de tout son coeur.

Bonjour mon pére, comment vas -tu?Elle regarda autour d'elle et tout en souriant saluant les autres personnes qui étaient présentes et qu'elle ne connaissait pas.

helsinki. a écrit:: Arthas, le jeune troupier de la garnison d'Embrun se présenta à lui:
Il regarda, fier ce nouveau venu à l'ost.
Il vit s'approcher Chriskhan qui se dirigea vers sa cousine.
Il avait pour l'instant perdu des yeux sa fille.
il était au mariage d'un loup et d'une biche drôle de mélange.
Il ne manquait plus que le chevalier ,mais aujourd'hui il n'y aurait pas chevalier simplement un loup qui se transformerait en prince charmant. Perdu dans sa rêverie, le capitaine était un rêveur.
Il écoutait les uns et les autres sans mot dire quand il fut sorti de ses pensées par les paroles de sa fille.

oh toi là , j'avais peur de t'avoir perdu.
comme toujours , je vais là où mes pas me guident et Aristote seul sait où mes pas peuvent m'amener.

Engherran a écrit:: Peran

Bien, tout était très bien. Les invités arrivaient les uns après les autres et le barde s'était donné la noble tâche d'accueillir chaque personne comme il se devait. Il se dirigea vers Chris et Lora avant que ceux-ci ne s'éclipsent. Le jeune homme était bien fait de sa personne et il avait quelque chose dans le regard qui ne trompait pas. Les fleurs qu'il offrit à sa chère cousine ne firent que confirmer son hypothèse.

Bonjour Messire, dit-il en s’inclinant avec courtoisie et élégance. Je suis heureux de rencontrer le fameux Chriskhan de Huy dont Lora m'a tant parlé. Elle a beaucoup d'estime et d'admiration pour vous. Vous êtes un être cher à son coeur, alors il vous faudra prendre soin d'elle, mais en cela je ne doute point de vous, vous semblez avoir l'âme courtoise et chevaleresque avec peut-être même un petit côté trouvère.
Enfin je manque à toute les règles de politesse, je me prénomme Peran, je suis barde de mon état et je serai le maître de cérémonie ce soir.
Je vois que vous avez à vous éclipser, alors je ne vais pas vous retenir d'avantage parce que sinon je vais me remettre à parler et je ne vous laisserai pas faire ce que vous avez à faire, dit-il en faisant un clin d'oeil à Lora.
Voyez je parle encore. Allez filez !

Laissant les deux jeunes gens se retirer, il se dirigea vers une nouvelle venue qui semblait être la fille du Capitaine Helsinki. Elle était vraiment charmante et il aurait été plus que grossier de ne pas saluer une jeune femme aussi radieuse.

Mes amitiés Damoiselle, dit-il en se penchant pour faire un baisemain.
Enchanté, que dis-je, charmé de faire votre connaissance. Décidément cette soirée sera des plus plaisante s'il y a tant de jolies femmes. Qu'en pensez vous Capitaine ?
Je suis Peran le frère d'Engherran, enfin frère de coeur. Nous avons grandi ensemble et appris bien des choses, lui les armes, moi la musique et réciproquement. Nous avons fait les quatre-cent coups ensembles. Il y a tant d'histoires à raconter si vous saviez.
Mais dîtes moi, si je puis me permettre d'être curieux, comment avez vous connu ce vieux Loup d'Engherran ?

helsinki. a écrit:: Le frère d'Engherran s'approcha et se présenta, il avait un mot, une parole pour tout le monde.
Il réfléchit à ce qu'il allait répondre;
Voyez vous je l'ai connu dans un lieu où les amitiés se font et se défont aussi vite qu'elles sont nées.
Enfin peu importe le lieu où je l'ai connu cela n'importe point ce soir.
Vous êtes le frère d'Engherran musicien , saltimbanque, vous réunissez toutes ses qualités, qualits qui doivent être fortes appréciées en des temps comme aujourdh'ui.

Chriskhan de Huy a écrit:

Chriskhan fut flatté par l'accueil qu'on lui réservait... Il répondit donc avec plaisir :

Citation :: Bonjour Messire, dit-il en s’inclinant avec courtoisie et élégance. Je suis heureux de rencontrer le fameux Chriskhan de Huy dont Lora m'a tant parlé. Elle a beaucoup d'estime et d'admiration pour vous. Vous êtes un être cher à son coeur, alors il vous faudra prendre soin d'elle, mais en cela je ne doute point de vous, vous semblez avoir l'âme courtoise et chevaleresque avec peut-être même un petit côté trouvère.
Enfin je manque à toute les règles de politesse, je me prénomme Peran, je suis barde de mon état et je serai le maître de cérémonie ce soir.
Je vois que vous avez à vous éclipser, alors je ne vais pas vous retenir d'avantage parce que sinon je vais me remettre à parler et je ne vous laisserai pas faire ce que vous avez à faire, dit-il en faisant un clin d'oeil à Lora.
Voyez je parle encore. Allez filez !

:DMessire tout l'honneur est pour moi et, en ce qui concerne ma Tendre Cousine, croyez bien que j'en prendrai toujours le plus grand soin. Nos sentiments affectueux ne datent pas d'hier. Je me demande même si une plus grande ferveur n'emplit pas chaque jour mon coeur...
Sachez aussi que c'est un plaisir que d'avoir été invité. Votre frère m'a soutenu et, à ce titre, je lui serai éternellement d'une grande reconnaissance.

Apercevant son respecté Capitaine...

:arrow:Mon Capitaine, mes Respects. Heureux que nous nous rencontrions une fois encore hors les murs des garnisons. Ce sera un plaisir que de converser avec vous ce soir, si d'aventure cela vous tente...
Allez, mes Seigneurs, je rejoins Dame de Sinard, on ne saurait faire attendre aussi Tendre Dame...

madpompon a écrit:: Mad arriva avec toute sa petite famille, Dame Cherry et ses 3 enfants.

Il pris les raccourcis connaissant déjà les lieux et alla directement à la salle de reception.

La petite Léa tira le pantalon de son pere...

"l'est ou tonton Kerb, z'ai mis des ch'ssures toute neuve. Ze veux lui montrer"

"il va arriver ma chérie. Mais tu es sage hein !!! tu iras lui faire un bisou et à Dam aussi hein"

Avec un sourire malicieux, elle répondit:

"oui papa, ze le jure, ze serait toute gentille"

Laurelyne a écrit:: Des heures, elle avait passé des heures à dessiner , trouver les étoffes et ensuite coudre cette robe. Elle y avait mis tout l'amour qu'elle avait pour son père et la tendresse pour celle qui deviendrait bientôt sa mère.
Elle avait demandé à Aurore de l'aider un peu et c'est d'ailleurs cette dernière qui l'avait aidé à se coiffer. Les cheveux de la louve n'aimaient que peu discipline et emprisonnement aussi quelques mèches couraient elles ici et là afin de montrer leur rebellion et Aurore avait fini par abdiquer trouvant ceci du plus bel effet.
La pauvre femme avit fort à ouevrer car toute la maisonnée requiérait ses services alors que l'heure de la cérémonie approchait.

Laure enfila ses chaussures qui n'étaient point de vair mais sourit pensant que Seren lui aurait dit qu'elle était une princesse si elle l'avait vue. Sa petite libellule ne quittait pas d'une semelle Dam chargée par les femmes d'être sa petite demoiselle d'honneur. Seren prenait son rôle très au sérieux et n'avait eu de cesse de combler tous les souhaits de sa future mère voulant lui prêter ses poupées et leurs colliers...

Laure aimait cette enfant et se réjouissait de la voir si heureuse du bonheur de son père. Elle embrassa Aurore et la libéra avant que de prendre le chemin qui la mènerait à la clairière. Elle devait retrouver en chemin sa marraine et Sam qui d'après les dires d'Aurore était arrivé il y avait peu.

Elle descendit quatre à quatre les marches et sortit quelque peu éblouie par les rays du soleil qui avait décidé de baigner cette journée de sa douceur et semblait ne point vouloir laisser place à la déesse d'argent.
Les gravillons de l'allée crissaient sous ses chaussures et elle prit la sente qui la mènerait à la clairière théâtre des évènements de la soirée. Péran, elle allait revoir son oncle comme elle aimait à l'appeler. La trouverait elle changée, lui avec qui elle allait enfant chercher au coeur de la forêt les plantes qui avaient soigné l'ami Estien un temps, sa mère bien après...Péran le sage, Péran le fougueux, l'homme qui était certainement à l'origine de cette vocation qui se faisait jour en elle et la conduiriat bientôt sur les traces de sa marraine...

Elle chercha cette dernière du regard, elle et un autre...

bounette a écrit:: Un imprévu l'avait retardé , elle devait tenir le record pour son manque de ponctualité mais sans pour autant faire en sorte que ça cesse .

la route fut longue et poussiéreuse et une fois le pied à terre elle se mit en quête de chercher un garde qui pourrait lui indiqué un endroit pour se changer .

Samuel Rossal a écrit:: Les heures s'étaient écoulées trop lentement depuis son arrivée à Autrans... Tout d'abord la longue discussion qu'il avait eu avec son ami l'avait empêché de partir de suite à la recherche de sa bien aimée... Il était ensuite tombé sur d'autres invités dont il n'avait pu se séparer sans quoi ils auraient pu se vexer... Il avait ensuite fallu se changer pour la cérémonie... Les quelques instants de liberté qu'il avait pu glaner lui avait juste permis de flâner dans les jardins du château espérant l'y trouver... Il avait maudit tout et tout le monde, il ne savait donc pas si elle avait été mise au courant de son arrivée plus tôt dans la journée et il enrageait pour ça...

Un page était venu l'avertir que l'heure approchait, vérifiant que la tenue ferait honneur à son vassal il rejoignit celui qui l'attendait dans le couloir pour le mener jusqu'au lieu de la cérémonie. A croire qu'il allait arriver le dernier, il n'y avait plus personne dans les couloirs et aux abords de la demeure. Quelques minutes plus tard un peu en retrait dans le bois il entendit un murmure qui s'amplifiait à chaque pas et au détour d'une allée il aperçut les invités. Le dernier arrivé ? C'était presque certain...

Il s'avança vers ceux qu'il connaissait afin de les saluer. Que des têtes connues et la ronde des courbettes et des sourires commença mais toujours aux aguets il tentait de repérer sa louve dans la foule sans y parvenir...

Adeline de Courcy a écrit:: On y était, après tant et tant de péripétie, cette fois ca y était… Son frère allait s’unir a la belle Dam’, un recommencement après cette tempête qui avait soufflé dans leur vie. Adeline était heureuse, elle ne pouvait le nier, si heureuse malgré cette lueur mélancolique dans le fond de son regard.

Mais l’heure n’était plus a songer au passé, mais bien à l’avenir ! Adeline s’empressa de s’habiller comme il se devait pour ce genre de réception, troquant ses braies, bottes et épée pour une tenue plus… féminine, une robe, dans les ton bleues, simple mais élégante pour l’occasion. Elle voulait faire honneur à son frère, sans pour autant se faire remarquer d’avantage. Elle releva ses cheveux en une tresse qu’elle s’enroula autour de la tete en couronne, une coiffure comme le voulait son rang et surtout, pour dégager sa nuque et la mettre un peu en valeur. Une petite touche de féminité, même si son cœur était resté à Honfleur… Mais ça… C’était son petit secret !

Fin prête, la jeune femme se dirigea vers la clairière où de nombreuse personne étaient déjà rassembler. Cherchant des yeux quelque connaissance, Adeline du vite se rendre à l’évidence qu’elle ne trouverait pas grand monde dans cette foule, et préféra, en toute discrétion prendre place dans un coin discret en attendant l’heure H.

gaelle a écrit:: Gaelle allait répondre à son pére qu'en effet elle était bel et bien à ses côtés même si elle se demander si lui y était quand elle vit un séduisant jeune homme venir à leur rencontre et lui faire un baise main, elle rosit légérement et lui adressa un sourire aprés l'avoir écouter se présenter.

Je suis enchantée de faire votre connaissance Sieur , je suis Gaelle fille adoptive de mon cher et tendre pére capitaine de l'ost ,et sachez que j'aimerai bien un jour que vous me contiez ces histoires.
Et pour tous vous dire j'ai connu votre cher frére à l'ost je suis l'intendante de l'ost et je vous prie de croire que notre premiére rencontre ne fut pas de tout repos... Elle à bien mal commencée pour tout dire.

Samuel Rossal a écrit:: Toujours à la recherche de Laure, il continuait de faire le tour des invités lorsqu'il s'arrêta et regarda à l'écart de la foule. Ce visage lui rappelait quelqu'un qu'il connaissait. Ou pouvait-il bien l'avoir rencontré... Il connaissait la quasi totalité des invités et pourtant il n'arrivait pas à mettre un nom sur ce visage. Il n'hésita qu'un instant et s'excusant auprès du groupe avec lequel il discutait il s'avança vers elle. Plus il s'approchait et moins il arrivait à se souvenir... Otant son chapeau et s'inclinant...

Le bonjour ma dame. Veuillez m'excuser mais vous voyant à l'écart je me suis permis de venir à vous. Je me présente Samuel Rossal, Vicomte de Sassenage. Un ami du bien heureux couple que nous attendons avec impatience.

Hésitant à nouveau, il osa...

J'ai l'impression de vous avoir déjà rencontré en d'autres lieux mais je n'arrive pas à me souvenir. Cela peut vous paraitre quelque peu cavalier de ma part mais je n'aime pas ne pas savoir...

Stoppant là sa tirade de crainte de paraitre encore plus ridicule qu'il ne l'était en cet instant, il attendit que son interlocutrice lui réponde.

chouquette a écrit:: perdue la chouquette ... perdue ... voila elle avait voulu faire la maligne et faire une surprise a son grand ami engherran , elle avait rien dit a personne a montelimar , prenant son petit minou comme eclaireur , et fiérement la chouquette avait pris la route vers embrum bien sur qu'elle avait eu peur se souvenant son dernier voyage , dernier voyage ou elle en etait ressortit traumatisée , battue a mort , rebroussant chemin , a embrun elle avait trouvé famille , protection et reconfort auprés de laure engherran et une copine auprés de seren ...

a regret elle les avait quitté pour rejoindre montel , et depuis c'etait enfermé chez elle , perdant le gout a tout et trouvant la solitude bien lourde a porter pour son jeune age ... alors la elle avait reçu l'invitation d'engherran et sans reflechir la besace sur le dos et le grisou sur les talons , chou etait partie laissant juste un mot a monsieur grain au cas ou il lui arriverait malheur ...parceque engherran etait quelqu'un qu'elle aimait beaucoup , quelqu'un qui l'avait protegé et avait sauvé grisou ...un papa secret ...

et voila , au milieu de cette foret elle était perdue ... affamée et effondrée chou se dit que même en voulant grandir elle arrivait pas ...petit minou voyant la detresse de sa petite maitresse assit sur les pieds de chou se met a miauler pour appeler de l'aide ...

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

Engherran a écrit:: Peran

Peran passait d'une personne à une autre, saluant le nouveaux venus. Tout le monde était pratiquement arrivé et les futurs époux guidés par une petite Seren allaient très bientôt faire leur entrée. Il lui fallait donc vite trouver Laure et Sam pour qu'il puisse leur donner quelques indications. Après un petit instant, il repéra sa nièce.

Bonsoir ma jolie nièce. Tu es resplendissante. Laisse moi un instant pour te regarder. Et bien tu vas en faire chavirer des coeurs, belle comme tu es, même si j'ai entendu dire qu'il n'y en a qu'un seul que tu souhaiterais rendre fou d'Amour. Et bien crois moi, à moins qu'il soit aveugle, il ne pourra ignorer une telle merveille. Tu es vraiment superbe. Tu n'est plus la mignonne petite fille que j'ai vu la dernière fois, mais pour moi tu resteras la petite Laure, lui affirma-t-il en lui donnant un baiser sur la joue.

Je suis content de te voir, car je voulais te donner quelques explications quant à ce que tu allais devoir faire. A moins que ton père te l'ai déjà expliqué ? Au cas où je vais te le redire, un petit rappel ne fait jamais de mal. Au début de la cérémonie, vous vous placerez avec les autres, tout autour de nous. Une fois tout le monde en place, je prendrai la parole. Une fois que j'aurai conté ce que j'ai à dire je vous appellerai Sam et toi afin que vous veniez à mes côtés pour prêter le serment des témoins. Rien de bien méchant rassure toi. Juste quelques mots concernant votre rôle de témoins. C'est bon pour toi, tout est clair ?

Comme je te voyais en quête de quelqu'un je dirai qu'il se trouve près du grand chêne là-bas avec ta tante. Je te laisse lui répéter tout cela.
Tu es vraiment magnifique ma chérie, lui dit-il avant de la laisser filer vers l'homme des ses pensées, celui pour lequel elle soupirait tant.

Alors qu'il était plongé dans ses pensées, il se mit à marché seul. Il repensait à tout ce qu'il allait dire, aux mots qu'il allait prononcer. Les mots ont du pouvoir et il voulait que chacun d’eux soient les plus adaptés à la situation. Il ne s'agissait pas de n'importe qu'elle mariage. Ses pas l'avaient guidé assez loin de la clairière et les discussions entre les invités n'étaient devenues qu'un léger murmure. C'est là qu'il entendit les miaulements d'un chaton. Curieux, le barde suivit la piste sonore pour enfin trouver assis sur le sol une jolie fillette au regard triste.

Bonjour jeune fille.
Te serais tu égarée ?
Je connais tous les invités du mariage de mon frère que je m'apprête à célébrer et tu sembles correspondre à la description de la jeune Chouquette. Engherran m'a beaucoup parler de toi. Il t'aime vraiment beaucoup. Je peux m'installer à côté de toi ? demanda-t-il.

Bien assis, il reprit. Rassure toi, tu n'as rien manqué et nous ne sommes pas très loin. A dire vrai, je venais me ressourcer avant de commencer à prendre la parole. C'est que ce n'est pas rien de marier son frère, même quand on est barde. Souhaites tu que je t'emmène jusque là-bas ?

Lora de Sinard a écrit:: Le crépuscule était tombé sur la clairière, éclairée par une lune dorée. Sauvage, belle et rebelle, elle sentait bon la liberté.La nuit allait bientôt tomber , la recouvrant comme un manteau, un autre spectacle s'offrit à nos yeux mais son charme restait le même, plus envoûtant ; elle dégageait de profonds mystères, des ombres, des échos.
Lora se rappelait, quelques années passées, dans sa Bretagne natale, les longues promenades en forêt, foulant le sol de fougères fraiches, assise sur un tapis d'humus ou accolée le dos sur un grand chêne, écoutant les bruits de la forêt , spectacle féérique et séduisant.
Le chant des passereaux surgissant d'un buisson, la senteur des résineux titillant ses sens, sentant bon la terre des hommes. Enfant, elle aimait déjà être seule avec Dame Nature.
En cette clairière, ce soir, sur la toile du firmament où brillaient des myriades d'étoiles, la déesse d'argent, colorait les talus, les cimes des arbres , ses rayons ensorceleurs, fantastiques, inondaient la clairière lui révélant tous ses mystères.
Ce soir tout est paisible dans ce paysage, l'âme voyageait et dansait avec son créateur.

A l'orée de cette clairière, une histoire commence ; un peu comme dans son enfance.
Un loup et une biche vont s'unir pour la vie devant leurs amis réunis sous le regard bienveillant et protecteur de la Déesse Mère.

La brunette s'était vêtue, pour cette soirée ,qui resterait certainement gravée en sa mémoire, d'une robe rouge. Cette couleur qu'elle aimait ,la couleur de la rose, celle qui exprime la passion. Au bras de Chriskhan, son cousin adoré, ils avaient rejoint tous les amis présents. Chriskhan et elle avaient toujours été proches, il était son ami, son confident. Ces jours derniers avaient été pénibles pour elle mais ce soir, ses yeux s'ouvraient sur de belles choses, des sentiments enfouis qui ressurgissaient en son cœur, que jamais elle n'avait osé avouer.
Elle n’était encore que toute jeune fille et les années s'étaient écoulées. Ils avaient été séparés, puis il était venu la retrouver dans sa douce cité embrunaise, pour son plus grand bonheur. Elle ,comme toute les jeunes filles, avait rêvé au prince charmant, peut-être que ce soir, il se cachait dans cette clairière, et, quand sonneraient les douze coups de minuit, un baiser, serait déposé sur ses lèvres...
Les contes de fées se terminent tous ainsi... "Ils se marièrent et ils eurent beaucoup d'enfants..." Cela la laissait bien rêveuse...
Mais pour la brunette, ce que demain sera fait,elle ne le savait pas.
Elle avait cru a ce beau conte,avec son doux poète,mais celui -ci s'ètait envolé,vers le royaume des songes........

Cette jolie fin de conte,ce soir était de rigueur,pour la Biche et le Loup, qui dans quelques minutes,allaient échanger leurs serments d'amour.....

chouquette a écrit:: le grisou savait se faire entendre , et c'est bien pour ça qu'engherran l'avait retrouvé aprés cette terrible bagarre et la pas de doute quelqu'un approchait , la chou a le coeur qui va exploser elle met la main sur la bouche de petit minou prete a deguerpir a la moindre alerte , elle se fait encore plus petite qu'elle n'est mais nan les pas approche , elle murmure a grisou prepare toi a me suivre je vais detaler ...

un homme passe le buisson et la voit de suite , c'est foutu .... foutu elle va crier aprés engherran même si elle sait pas ou il s'en fou elle sera pas morte sans crier parole de chou , mais l'homme a pas l'air bien méchant , elle le laisse approcher sur ses gardes et il lui parle et la chou respire le frére de son protecteur c'est pas possible mais quelle chance pis en plus elle est pas loin du mariage encore mieux et il s'installe a ses cotés , chou pense a relacher la bouche de grisou et regarde le monsieur esquissant un sourire timide ...

un barde et chou sourit encore plus sans le savoir elle l'aime deja bien ce frére la , pas a dire cette famille lui tombe toujours du ciel et elle ose ouvrir la bouche toute joyeuse ...

suis bien contente de vous trouver , enfin plutot l'inverse c'est que j'etais perdue , vous savez d'habitude je pars pas seule mais la monsieur grain pouvait pas venir avec moi alors je suis partie hop comme ça meme que j'ai pas a mangé , et engherran moi aussi je l'aime beaucoup pis ses filles aussi , laure elle prend toujours soin de moi et seren c'est ma copine , ah oui ... c'est moi chouquette vous avez gagné et ça c'est grisou c'est meme engherran qui me l'a retrouvé je l'avais perdu , moi jveux bien aller au mariage oui , mais vous pouvez reflechir a vos paroles aussi vous savez j'attendrai je suis sage ... enfin souvent ...

Engherran a écrit:: Peran

Peran observait cette enfant. En effet Engherran avait raison, elle avait un petit quelque chose qui rappelait Laure quand elle était enfant. Le barde adressa un sourire bienveillant à la fillette.

Et bien vois-tu, aussi curieux que cela puisse paraître je ne sais pas trop ce que je vais raconter. Pourtant on me dit bavard, mais là je ne sais pas. Je trouverai sans doute une histoire de mon cru sur le moment. Je ne me fais pas trop de soucis, j'ai toujours su improviser. En fait, j'ai quand même une petite idée. On dit que je parle trop, si tu trouve que je parles trop, n'hésite pas à me le faire comprendre, lui dit-il en lui faisant un clin d'oeil.

Il va être temps. Je t'emmène jusqu'à la clairière aux serment ? Nos deux amoureux vont se marier sous le regard du Soleil et de la Lune.
Et puis j'ai de quoi grignoter pour caler une petite faim avant le banquet de tout à l'heure. Ça t'intéresse ?

Peran lui tendit la main, bienveillant, et c'est ensemble qu'ils se dirigèrent vers cette fameuse clairière.

Nynaève de Gaudemar a écrit:: Allez Isis… vole… nous sommes en retard. Regarde la lune se lève.

C’est la bride abattue que la brune encourageait sa jument à allez toujours plus vite. Vraiment cette journée n’était pas ordinaire. Rien n’expliquait qu’elle soit aussi courte.

Un tourbillon depuis le matin, des choses à régler au domaine qui lui avait volé le temps ne lui laissant que quelques minutes pour se préparer. Elle avait promis sa présence…

Plus vite Isis…

Déjà les derniers rayons se cachaient sur la montagne et le crépuscule gagnait se posant sur la nature comme une caresse quand Nyna fut en vue du domaine d’Autrans. Enfin au portes du château, elle démonta et lança ses rênes à un jeune palefrenier qui passait par là…

Du foin et de l’eau… lui lança-t-elle tout en avisant l’un des gardes…

Je suis en retard… la cérémonie ?

S’inclinant, l’homme d’arme lui indiqua le chemin de la clairière.

Bientôt, elle aperçu les autres invités et sourit en les reconnaissant tous. Pour ainsi dire elle était chez elle. Souriante et silencieuse elle s’avança craignant de troubler les échanges qui avaient du commencer.

chouquette a écrit:: alors la la chou elle se retient de rire , comme ça elle n'est pas la seule a parler trop , elle le regarde les yeux brillants d'admiration pas a dire elle l'aime bien celui la le sourire jusqu'aux oreilles ...

même pas vrai que vous parlez trop ,moi vous savez ça me derange pas , quoique ... si j'ai quelqu'un qui parle autant que moi ça va etre dur d'en placer une ... parceque parait que je parle trop , parait meme que je parle tout le temps mais c'est meme pas vrai d'abord , façon a montel me suis enfermée chez moi , et vous savez .... ba a parler toute seule avec un grisou qui fait que vous regarder sans répondre ba on finit par plus parler ... si si je vous jure alors moi je dis ecoutez pas les gens c'est meme pas vrai que vous parlez trop la preuve vous savez meme pas quoi dire mais moi je sais que vous allez y arriver , parceque si on pense a votre frére et tout ce qu'il représente obligé qu'on a l'inspiration, je connais pas sa dame , alors la jpeux pas dire , mais l'amour c'est pareil parait que ça donne des ailes et que ça donne l'inspiration aussi ...

respire un grand coup et regarde la main tendue ... a l'offre d'un petit encas son ventre se met a grouiller fort et donne le rouge aux joues a la chou ... lui souriant elle glisse sa main menue dans la sienne ... jvous fais confiance ... et ... euh ... ba un tit morceau a manger serait pas de rfus... elle est comment la dame hein ?

Adeline de Courcy a écrit:: Elle regardait la Normande, observait se qui se passait autour d’elle songeuse attendant simplement l’arriver de son frère. Il y avait beaucoup de monde rassemblé dans cette clairière, autant de monde qui rappelait à la jeune femme qu’elle ne connaissait personne au final et se sentait bien perdu sans son frère et sa famille.

Elle s’apprêtait à s’avancer un peu lorsqu’un jeune homme vint l’aborder. Un peu sur la réserve, Adeline le regarda un instant, son visage ne lui était pas totalement inconnu… Elle en était persuadée.
-Bon.. Bonjour, heureuse de vous…

Elle s’arrêta le laissant parler, en fronçant légèrement les sourcils. Elle aussi avait cette vague impression de l’avoir déjà vu, mais ou ? Quand ? A quelle occasion ? Ce nom lui parlait, ce visage aussi… Mais…. Impossible de se rappeler. Il faut dire que les quelques semaines passé entre la vie et la mort, sa douloureuse convalescence n’aidait pas à se rappeler quelque visage familier…

-Je suis Adeline de Courcy, Baronne de la Haye du Puits, une amie… Enfin disons, la petite sœur de cœur d’Engherran.

Léger sourire un peu gêner. « Petite sœur »… Qui pourrait comprendre véritablement la signification ? Aucun lien du sang, juste celui du cœur mais c’était celui là le plus fort.

-Je… Je vous rassure, j’ai moi-même l’impression, et le sentiment que l’on s’est déjà croisé, peut être même travaillé ensemble.

Adeline se mit a rougir confuse, incapable de se rappeler et pourtant… oui pourtant…Pourtant…

-Ohhhh mais oui ! Ca me revient maintenant, Samuel ! Les Archives de France ? C’est cela n’est ce pas ?

Engherran a écrit:: Peran

Peran marchait à côté de la fillette, main dans la main. Il écoutait Chou' avec beaucoup d'attention. Il parlait peut-être beaucoup, mais il savait écouter les gens. En bon barde qu'il était, il était doté d'une grande empathie, une empathie dont avait également hérité Engherran, un cadeau de leur précepteur, le sage maître Edar. C'était de cet homme que Peran tirait une très grande partie de ce savoir. La gamine le faisait sourire, elle était franche et directe, nature. Elle était pleine de vie.

Merci de ta confiance Chou'. Oui je pense que j'y arriverai. Je n'ai encore jamais raté un quelconque conte, je ne vais donc pas commencer aujourd'hui, surtout pas aujourd'hui. Et oui tu as raison l'Amour donne des ailes et j'en connais deux qui s'aiment tellement qu'ils vont finir par s'envoler. A-t-on jamais vu un loup et une biche voler ?

Tu ne connais pas la mariée ?
Et bien, je vais essayer de te faire un portrait d'elle.
Je connais Engherran depuis très longtemps, nous étions plus jeune que toi quand nous jouions déjà ensemble. Je connais donc bien le coeur du Loup et je sais que depuis longtemps les ténèbres et la douleur avaient envahi son coeur. Il avait perdu sa première épouse bien avant sa mort et même s'il est resté près d'elle plus rien n'était pareil. Puis il a eu quelques histoires à côté mais aucune femme n'a réussi à dissiper sa tristesse. Visiblement Damwer, que Seren a rebaptisée Damour (sans doute trouve-t-elle cela plus facile à dire), a redonner le sourire à notre chevalier. De ce que je sais, notre future épouse est forgeronne. C'est une femme d'une grande douceur et d'une tout aussi grande générosité. Elle est si gentille que la Petite Etoile l'a adoptée tout de suite comme sa nouvelle maman et visiblement Laure et elle se connaissaient depuis un moment déjà et avaient une très grande estime l'une pour l'autre.

Et je suis sûr que si le chevalier te considère comme l'une de ses filles, il y a des chances pour que cela soit partagé.

Lorsqu'ils arrivèrent dans la clairière aux serments Peran remarqua que d'autres personnes étaient arrivées. Après avoir fouillé dans sa besace il donna à Chou' un morceau de pain, un peu de fromage de brebis et un petit couteau.

Nous y sommes, lui dit-il en lui présentant les lieux d'un mouvement de bras.
Cale toi l'estomac Chouquette. Nos amoureux ne devraient plus tarder.

madpompon a écrit:: Mad, Cherry et leur grand attendaient avec impatience les mariés.
Léa, la petite peste, n'avait pû attendre plus longtemps. Elle avait rejoint Seren et elles s'amusaient, partaient dans des fous rires. Mad soupçonnait les 2 chipies de concocter quelques tours aux invités. Quant au dernier, il s'endormit dans les bras de Mad. Au moins lui, ne ferait pas de bétises.

chouquette a écrit:: pour une fois la chou se taisait et main dans la main du grand frére elle l'ecoutait , elle aimait bien l'ecouter , elle aimait bien entendre raconter engherran , elle savait chou qu'il avait beaucoup souffert , elle savait qu'il l'avait presque adopter la prenant sous son aile comme sa fille , si ça serait partagé ça elle savait pas pis elle allait pas s'incruster façon elle etait contente pour seren qu'elle ai trouvé une maman c'est ce qui lui manquait a la petite , chou avançait et souriait en levant son nez vers peran, le grisou sautillant a leur coté.. et ils arriverént dans une clairiére , peran la lache pour fouiller dans sa besace , elle reste a observer tout ces gens et se trouve soudain bien loin de chez elle ... a quoi a t'elle pensé en venant ici toute seule sans monsieur grain , mais la vue du fromage dissipe un instant ses craintes et le ventre se met a crier famine a nouveau ... tendant la main tout sourire , chou s'installe par terre dans un coin tout sage et léve le nez ...

merci monsieur peran vous etes trés gentil aussi gentil que votre frére et jcrois que jvous aime bien deja mais monsieur grain m'a dit de faire attention de pas dire ça tout de suite et de me mefier mais m'en fou j'ai pas envie de me mefier ... lui sourit largement ... vous inquietez pas jvais etre sage trés sage si vous avez a faire je bougerai pas promis ... encore un grand sourire et la chou attaque le bout de pain donnant un ptit peu de fromage a ptit minou

Ninoua a écrit:: Arrivée la veille au soir, la nuit et la journée du lendemain n'avait pas été de trop à la future mère pour prendre du repos après le long voyage depuis Briançon. Débarrassée pour quelques jours des préoccupations municipales, la brune n'avait plus de raisons de se soustraire aux bons soins de Mamie Laine, cette dernière s'étant assuré qu'aucun parchemin n'avait accompagné la Bourgmestre jusqu'à Autrans.
Alors que le jour allait bientôt toucher à sa fin, un petit sac de plantes dont seule l'aïeule avait le secret fut versé dans l'eau chaude du baquet, rempli tout exprès pour la Dame de Sablons. Après le bain, on entoura le ventre épanoui de la jeune femme d'une large bande de lin. Il y a quelques mois, elle la portait pour dissimuler ses formes, mais à présent, c'était pour soutenir ses reins jusque tard dans la soirée. Puis, au dessus de la chainse, on lui passa une ample robe couleur lie de vin, cintrée sous la poitrine d'une ceinture en soie prune. Autour de son cou, nulle autre parure que sa chevelure ébène, tout juste disciplinée par quelques tresses et torsades, pour elle voulait rester dans la simplicité.

A l'heure où le ciel prenait les mêmes tons que sa robe, Ninoua quitta les appartements qu'on lui avait attribués au bras de Lagier, son soutient pour la soirée. Accordé à la tenue de sa maîtresse, le montagnard était sobrement habillé de tissu et de cuir d'un brun sombre. Elle avait essayé de le convaincre de laisser son épée courte au râtelier, mais, sans surprise, il avait refusé de s'en défaire, surtout lorsqu'il avait appris que la cérémonie aurait lieu à l'extérieur. La brune espérait que personne n'allait s'en offusquer.

Avec précaution, le couple de Briançonnais s'avança sur le sentier, évitant pierres et racines. D'ordinaire, la jeune femme avait le pied sûr, mais à présent que son ventre rond contenait un trésor fragile, elle craignait trop de trébucher et faire une mauvaise chute. C'est donc agrippée au bras de Lagier qu'elle déboucha sur la clairière où allait se dérouler la cérémonie païenne. Elle reconnu Sam, en discussion avec une dame, Mad et sa petite famille, et enfin Nyna, à l'écart. Tout le monde semblait attendre les deux principaux acteurs de l'événement de ce soir. Son garde du corps la guida vers un carré de mousse pour patienter plus confortablement. Bientôt, le soleil irait se coucher pour de bon, et laisser sa place à la lune.

Cherry46 a écrit:: Cherry était là, accompagnée de son époux et leurs enfants.Il lui avait fallu quelques heures pour se préparer...mais elle était à l 'heure!
C 'était pour elle une joie immense de partager le bonheur de son ami Kerb et de Damwer sa futur épouse.
Il fessait beau ,la cérémonie allait sûrement bientôt commencer. Cherry était impatiente de voir la futur mariée arriver!
Elle n 'avait pas eu la joie de faire sa connaissance auparavant , mais cela n 'était que partie remise!
Il y avait un moment déjà que Cherry ne sortait plus aussi souvent , elle se fessait rare ,elle n 'avait pu voir que brièvement ses amis.
Mais Kerb n 'attendait rien pour avoir le traditionnel bisous mais cette fois si pour le féliciter , quand à son épouse , elle se fessait une joie de la rencontrer.
C'est impatient que le couple d'Audeghen attend l' arrivée des deux tourtereaux.

Laurelyne a écrit:: C'était toujours un réel plaisir que de retrouver cet oncle farfelu mais au combien charmant et charmeur...
Laure l'écoutait avec un vif intérêt ayant quelque peu de mal à comprendre quel rôle serait le sien au moment crucial de cette cérémonie.

Je crois que c'est au ne peut plus clair mon oncle...autant que celà le peut sois en assuré...Elle lui souriait avec cette petite moue qu'il lui connaissait si bien.
Consignes prises, elle se dirigea donc vers ce chêne qui devait lui rendre ce bien aimé qu'elle n'avait point encore eu loisir de voir depuis son arrivée.
Chemin faisant , elle le vit en grande conversation avec sa tante et s'arrêté à plusieurs reprises pour saluer les convives qui commençaient à se presser dans cette clairière.

Tante Dee, je vois que tu as été plus chanceuse que moi, tu as débusqué le cerf du bois alors que je ne l'y trouvais point.
Elle glissa sa main dans la paume de Sam y dessinant un coeur comme elle le faisait étant plus jeune mais celui ci était plus appuyé et lorsque ces doigts se mélèrent aux siens, la pression qu'elle y imprima était à la hauteur du frémissement qui lui parcourait l'échine.
Elle manquait à toute bienséance et s'en fichait éperduemment, ses agissements du moment n'étaient mus que par la volonté de ce coeur qui battait si fort en sa poitrine et le désir innasouvi de ses nuitées solitaires...La louve avait l'oeil brillant et la bouche avide et comptait bien profiter de cet évènement pour le ravir à tous et deviser la nuit durant sur les rives du Rossal...

Ma tante, je vais devoir te priver un moment du vicomte car vois tu nous sommes l'un et l'autre témoins de cette union hors du commun et avons à voir ensemble le déroulé des évènements et les rôles qui nous sont dévolus.
Ne laissant pas de place à une quelconque répartie, elle l'entraîna à sa suite et chercha un bosquet de buis afin de lui conter combien il lui avait manqué...

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

Samuel Rossal a écrit:: Il la voyait réfléchir et lui-même continuait à faire travailler sa mémoire pourtant bonne en temps normal mais qui l'avait totalement abandonné à ce moment-là.

-Je suis Adeline de Courcy, Baronne de la Haye du Puits, une amie… Enfin disons, la petite sœur de cœur d’Engherran.

La fameuse Tante Dee ! Ah bah ça du premier coup et sans le vouloir il l'avait trouvé. Mais il ne l'interrompit pas pour autant voyant qu'elle n'avait point fini...

-Je… Je vous rassure, j’ai moi-même l’impression, et le sentiment que l’on s’est déjà croisé, peut être même travaillé ensemble.

Il la vit passer du rose au rouge et faillir éclater de rire. Il se devait de tenir son rang et ne pas rire au milieu d'une cérémonie, ce n'est pourtant pas l'envie qui lui manquait. Comme ça il n'était pas fou. Sa tête de vicomte lui rappelait quelque chose aussi. Ouf... Il allait rajouter quelque chose lorsqu'elle s'écria

-Ohhhh mais oui ! Ça me revient maintenant, Samuel ! Les Archives de France ? C’est cela n’est ce pas ?

Sursautant il se tapa la main sur le front...

Mais bien sur ! Vous avez meilleure mémoire que moi Baronne. Depuis qu'Engherran et Laurelyne m'ont parlé de vous, je cherche en vain... Et vous en quelques minutes... En tout cas je suis ravi de vous revoir ici. Comment vous portez-vous ? Cela fait quoi maintenant ? Un an ?

Maintenant qu'il savait qui il avait en face de lui, il cherchait soigneusement ses mots pour ne pas faire d'impair. A priori son interlocutrice n'en savait pas plus que ça sur lui alors autant faire bonne impression.

Il la sentit plus qu'il ne l'entendit... Il sentit sa main se renfermer sur la sienne et le poids de toutes les charges qui pesaient sur ses épaules s'évanouirent en un instant. Elle était là à coté de lui s'adressant à sa tante. plus rien, ou presque, n'existait en sa présence.

L'enlever ? Lui ? Mais enlever un vicomte c'était un crime ! Mais il se laissa faire avec plaisir saluant Tante Dee sans avoir eu le temps d'en placer une.

Laurelyne a écrit:: Le brouhaha des conversations, le souffle du vent dans les buis, elle oubliait tout n'entendant que le bruit de son coeur...
Sam n'avait pas bronché, il lui avait souri avec ce regard qu'elle connaissait bien désormais, cet éclat dans les yeux signe d'un appêtit éveillé et promesse de délicieux instants. Elle savait bien que cette escapade ne serait point le théâtre de retrouvailles qu'elles avaient des jours attendues, juste les prémices d'une nuit qui pour elle, quelque soit la couleur du ciel, serait étoilée.

Bruissement du vent, frôlement des étoffes, lèvres qui se retrouvent, tout n'était que pur bonheur et elle en oubliait jusqu'aux recommandations de Péran, jusqu'à la cérémonie et le rôle qu'ils devaient y tenir...

Engherran a écrit:: Le Soleil avait déjà amorcer son déclin pour laisser la place à sa fille la Lune. Il était donc plus que nécessaire pour nos deux Amants de rejoindre la clairière aux serments, un lieu qui allait rentré de l'histoire de leur vie. Engherran espérait que tout se passait bien. Rejoignant sa douce et tendre Biche, il déposa sur elle un regard émerveillé et lui donna un dernier baiser avant de se diriger vers un bel et doux avenir. Tout s'était passé très vite entre eux, nombreux sont ceux qui auraient pu penser que leur décision était précipitée, mais il n'en était rien. Elle s'était imposée à eux comme une évidence. Le chevalier repensa au jour où il lui avait fait sa demande, à la joie au bonheur qui s'étaient dessiné sur le visage de sa Bien Aimée.

C'est donc l'un contre l'autre que le Loup et la Biche firent leur entrée dans la clairière ou tous les attendaient. Son cœur amoureux battait à tout rompre et Engherran craignait qu'il ne perce sa poitrine. Il pouvait l'entendre clamer son Amour malgré les chuchotements de l'assemblée ici réunie. L'Amour, oui c'était indéniablement l'Amour passionné qu'il éprouvait pour sa fiancée, la belle forgeronne qui faisait ainsi battre ce cœur qui avait enfin retrouvé la Lumière grâce à elle. Il pressa doucement la main de sa future épouse comme pour se prouver que tout cela était réel. Ils adressèrent quelques saluts et sourires à leur amis. Ils les retrouveraient ensuite une fois leurs serments d'Amour échangés.

La Petite Étoile voyant arriver son père et celle qu'elle appelait déjà maman, se dirigea vers eux pour les conduire auprès de Peran. La fillette n'avait d'yeux que pour Damour et son papa à elle comme elle se plaisait à le dire. Engherran était vêtu d'une longue robe de gueule faite de soie et cousue de fils d'argent et d'une cape à la blancheur immaculée. Dam' avait elle aussi avait fait siennes les couleurs de la famille de son futur époux, les couleurs de sa famille. Seren, habillée d'une petite tenue de princesse indigo, guida les fiancés auprès du barde qui officierait la cérémonie, puis alla rejoindre Chou' à qui elle fit un gros bisou, trop contente de retrouver son amie.

Engherran posa son regard sur sa belle forgeronne et lui murmura un tendre "Je t'Aime". La Biche allait enfin pouvoir s'unir pour le meilleur et surtout pour le meilleur.

damwer a écrit:: Le soleil laissait doucement place à la lune, Dam' attendait depuis des jours ce moment et maintenant qu'il était là, elle espérait qu'il viendrait la retrouver, craignant qu'il ait eu des doutes de dernières minutes.

Voyant arriver son chevalier, elle ouvrit la bouche mais aucune parole ne put en sortir, ses yeux s'emplissaient de larmes de bonheur qu'elle essayait de contenir, son coeur battait plus fort que jamais. La forgeronne était rassurée et à entendre son coeur, il criait tout l'Amour, toute la passion qui les unissaient déjà.

Tout se passait très vite entre le Loup et la Biche mais pas à leurs yeux, tout étant si évident. La promesse qu'ils allaient faire devant leurs amis ce soir, ils se l'étaient déjà faite et comptaient bien l'officialiser devant témoins.

Avançant doucement jusqu'à la clairière qui les verrait ressortir unis devant la Grande Déesse, ils virent la Petite Etoile filer jusqu'à eux, elle rayonnait. A croire que tous les coeurs de la famille s'étaient ouvert à la forgeronne. Ils continuaient de se rapprocher de l'autel guidés par Seren en saluant les invités et finirent par se placer l'un en face de l'autre. Leurs yeux brillaient, leur bonheur pouvait se lire sur leurs visages, elle lui murmura un Je t'Aime en réponse au sien.

Dam cherchait encore à se rassurer, elle n'était pas habituée à autant de monde et les visages de tous ses inconnus lui rajoutait une pression dont elle se serait passée. Elle cherchait du regard Laure et Sam pensant au départ qu'elle les trouverait à côté de Péran, elle tourna donc un regard interrogateur au barde qui lui fit comprendre de ses rassurer et qu'il allait pouvoir commencer.

Samuel Rossal a écrit:: Il la voyait réfléchir et lui-même continuait à faire travailler sa mémoire pourtant bonne en temps normal mais qui l'avait totalement abandonné à ce moment-là.

-Je suis Adeline de Courcy, Baronne de la Haye du Puits, une amie… Enfin disons, la petite sœur de cœur d’Engherran.

La fameuse Tante Dee ! Ah bah ça du premier coup et sans le vouloir il l'avait trouvé. Mais il ne l'interrompit pas pour autant voyant qu'elle n'avait point fini...

-Je… Je vous rassure, j’ai moi-même l’impression, et le sentiment que l’on s’est déjà croisé, peut être même travaillé ensemble.

Il la vit passer du rose au rouge et faillir éclater de rire. Il se devait de tenir son rang et ne pas rire au milieu d'une cérémonie, ce n'est pourtant pas l'envie qui lui manquait. Comme ça il n'était pas fou. Sa tête de vicomte lui rappelait quelque chose aussi. Ouf... Il allait rajouter quelque chose lorsqu'elle s'écria

-Ohhhh mais oui ! Ça me revient maintenant, Samuel ! Les Archives de France ? C’est cela n’est ce pas ?

Sursautant il se tapa la main sur le front...

Mais bien sur ! Vous avez meilleure mémoire que moi Baronne. Depuis qu'Engherran et Laurelyne m'ont parlé de vous, je cherche en vain... Et vous en quelques minutes... En tout cas je suis ravi de vous revoir ici. Comment vous portez-vous ? Cela fait quoi maintenant ? Un an ?

Maintenant qu'il savait qui il avait en face de lui, il cherchait soigneusement ses mots pour ne pas faire d'impair. A priori son interlocutrice n'en savait pas plus que ça sur lui alors autant faire bonne impression.

Il la sentit plus qu'il ne l'entendit... Il sentit sa main se renfermer sur la sienne et le poids de toutes les charges qui pesaient sur ses épaules s'évanouirent en un instant. Elle était là à coté de lui s'adressant à sa tante. plus rien, ou presque, n'existait en sa présence.

L'enlever ? Lui ? Mais enlever un vicomte c'était un crime ! Mais il se laissa faire avec plaisir saluant Tante Dee sans avoir eu le temps d'en placer une.

Laurelyne a écrit:: Le brouhaha des conversations, le souffle du vent dans les buis, elle oubliait tout n'entendant que le bruit de son coeur...
Sam n'avait pas bronché, il lui avait souri avec ce regard qu'elle connaissait bien désormais, cet éclat dans les yeux signe d'un appêtit éveillé et promesse de délicieux instants. Elle savait bien que cette escapade ne serait point le théâtre de retrouvailles qu'elles avaient des jours attendues, juste les prémices d'une nuit qui pour elle, quelque soit la couleur du ciel, serait étoilée.

Bruissement du vent, frôlement des étoffes, lèvres qui se retrouvent, tout n'était que pur bonheur et elle en oubliait jusqu'aux recommandations de Péran, jusqu'à la cérémonie et le rôle qu'ils devaient y tenir...

Engherran a écrit:: Le Soleil avait déjà amorcer son déclin pour laisser la place à sa fille la Lune. Il était donc plus que nécessaire pour nos deux Amants de rejoindre la clairière aux serments, un lieu qui allait rentré de l'histoire de leur vie. Engherran espérait que tout se passait bien. Rejoignant sa douce et tendre Biche, il déposa sur elle un regard émerveillé et lui donna un dernier baiser avant de se diriger vers un bel et doux avenir. Tout s'était passé très vite entre eux, nombreux sont ceux qui auraient pu penser que leur décision était précipitée, mais il n'en était rien. Elle s'était imposée à eux comme une évidence. Le chevalier repensa au jour où il lui avait fait sa demande, à la joie au bonheur qui s'étaient dessiné sur le visage de sa Bien Aimée.

C'est donc l'un contre l'autre que le Loup et la Biche firent leur entrée dans la clairière ou tous les attendaient. Son cœur amoureux battait à tout rompre et Engherran craignait qu'il ne perce sa poitrine. Il pouvait l'entendre clamer son Amour malgré les chuchotements de l'assemblée ici réunie. L'Amour, oui c'était indéniablement l'Amour passionné qu'il éprouvait pour sa fiancée, la belle forgeronne qui faisait ainsi battre ce cœur qui avait enfin retrouvé la Lumière grâce à elle. Il pressa doucement la main de sa future épouse comme pour se prouver que tout cela était réel. Ils adressèrent quelques saluts et sourires à leur amis. Ils les retrouveraient ensuite une fois leurs serments d'Amour échangés.

La Petite Étoile voyant arriver son père et celle qu'elle appelait déjà maman, se dirigea vers eux pour les conduire auprès de Peran. La fillette n'avait d'yeux que pour Damour et son papa à elle comme elle se plaisait à le dire. Engherran était vêtu d'une longue robe de gueule faite de soie et cousue de fils d'argent et d'une cape à la blancheur immaculée. Dam' avait elle aussi avait fait siennes les couleurs de la famille de son futur époux, les couleurs de sa famille. Seren, habillée d'une petite tenue de princesse indigo, guida les fiancés auprès du barde qui officierait la cérémonie, puis alla rejoindre Chou' à qui elle fit un gros bisou, trop contente de retrouver son amie.

Engherran posa son regard sur sa belle forgeronne et lui murmura un tendre "Je t'Aime". La Biche allait enfin pouvoir s'unir pour le meilleur et surtout pour le meilleur.

damwer a écrit:: Le soleil laissait doucement place à la lune, Dam' attendait depuis des jours ce moment et maintenant qu'il était là, elle espérait qu'il viendrait la retrouver, craignant qu'il ait eu des doutes de dernières minutes.

Voyant arriver son chevalier, elle ouvrit la bouche mais aucune parole ne put en sortir, ses yeux s'emplissaient de larmes de bonheur qu'elle essayait de contenir, son coeur battait plus fort que jamais. La forgeronne était rassurée et à entendre son coeur, il criait tout l'Amour, toute la passion qui les unissaient déjà.

Tout se passait très vite entre le Loup et la Biche mais pas à leurs yeux, tout étant si évident. La promesse qu'ils allaient faire devant leurs amis ce soir, ils se l'étaient déjà faite et comptaient bien l'officialiser devant témoins.

Avançant doucement jusqu'à la clairière qui les verrait ressortir unis devant la Grande Déesse, ils virent la Petite Etoile filer jusqu'à eux, elle rayonnait. A croire que tous les coeurs de la famille s'étaient ouvert à la forgeronne. Ils continuaient de se rapprocher de l'autel guidés par Seren en saluant les invités et finirent par se placer l'un en face de l'autre. Leurs yeux brillaient, leur bonheur pouvait se lire sur leurs visages, elle lui murmura un Je t'Aime en réponse au sien.

Dam cherchait encore à se rassurer, elle n'était pas habituée à autant de monde et les visages de tous ses inconnus lui rajoutait une pression dont elle se serait passée. Elle cherchait du regard Laure et Sam pensant au départ qu'elle les trouverait à côté de Péran, elle tourna donc un regard interrogateur au barde qui lui fit comprendre de ses rassurer et qu'il allait pouvoir commencer.

Engherran a écrit:: Peran

Le barde observait les deux Amants prendre place auprès de lui puis alla ébouriffé les cheveux de la petite Seren qui avait pris place à côté de Chouquette. C'était un honneur pour lui d'être ici face à son frère et à celle qui avait su ravir son cœur. Il connaissait très bien Engherran et il savait qu'il avait trouver en Dam' la femme qu'il espérait depuis tant d'années. Aussi loin que remontait sa mémoire jamais il ne l'avait vu vivre de la sorte. Il souriait, il riait à nouveau. Seren lui avait raconté comment son père jouait avec elle, courant dans le jardin. Il voyait le Loup veiller à nouveau sur la Louve. La Biche avait ramené la Lumière dans la vie du chevalier de Kerbleiz. Il adressa aux deux fiancés un sourire sincère avant d'attraper sa grande harpe dissimulé sous ce petit autel improvisé. S'asseyant sur une grosse pierre entre les deux fillettes, il commença à pincer les cordes de son instruments, créant la plus douce des mélodies. Après qu'il eut joué quelques notes pour appeler chacun des invités à venir se placer en cercle autour des futurs mariés, il prit enfin la parole sans pour autant quitter sa harpe.

Vous tous qui êtes présents ici, j'espère que vous ressentez le même honneur que moi à avoir été conviés à ce moment si importants dans la vie de nos amis. Je connais Engherran depuis toujours et croyez moi quand je vous dis que jamais je ne l'ai vu aussi rayonnant. Pour ce qui est de Dam', je ne l'ai rencontré que récemment, mais je vois en cette femme bien des choses. J'espère ne pas l'offenser en disant qu'elle est l'image de la femme parfaite pour mon frère. Elle ressemble en bien des points à Solenn de Montfort appelée aussi Solenn de Kerbleiz, la mère de notre chevalier, mais elle a également en elle ce petit quelque chose d'une autre femme qui a compté pour Engherran. Elle a sa vivacité d'esprit, le plus grand, son espièglerie et cette complicité qui fait qu'elle a su, elle et elle seule, ravir le cœur du Loup. Dam' ne craint pas le passé de ton futur époux, tu es une femme unique et je sais de sources sûres que c'est toi et nul lointain souvenir qu'il veut épouser. Pour s'en convaincre il suffit de plonger ses yeux dans son regard bleu-gris.

Embrun possède un bestiaire et j'y retrouve bien là la patte de mon frère et quand je lis le portrait qu'il a fait de sa belle il me vient mille et une histoire parlant de Lumière et de Blanche Biche. Dans nos contrées celtiques la Biche est plus qu'un simple animal, elle est un symbole de pureté, de sagesse. Nombreux sont les récits qui relatent les traques de chasseurs et de chevaliers cherchant à percer les mystères de ce noble animal, symbole d'Amour et de douceur. Mais là, en ce jour ce n'est pas le chasseur, le Loup qui est parti en quête de sa Lumière. Non ! C'est la Blanche Biche qui séduite par ce généreux prédateur a souhaité venir soigner son cœur malade. La complicité est née entre le Loup et la Biche, puis de celle-ci un Amour fort et puissant. Le reste de cette histoire je ne la connais malheureusement pas, mais je peux vous affirmer une chose l'animal qui représente si bien notre radieuse fiancée est à la fois la jeune femme, la vierge, l'épouse et la mère, dit-il tout en faisant courir ses doigts sur les cordes de sa harpe.

La jeune femme, l'épouse et la mère, voilà une image qui m'inspire pour ce mariage. Il est de coutume dans nos croyances ancestrales de faire en sorte qu'un de nos dieux bénissent les épousailles de chaque couple. Il n'en sera pas autrement ce soir. Pour consacrer l'union de nos amis, je loue celle que l'on appelle la "Très Haute", la "Très Élevée", Brigid dans notre langue ancienne. Elle est la Mère de toutes choses dans ce monde et dans l'Autre. Elle est également la déesse des poètes et des forgerons, une déesse fort appropriée vous en conviendrez. Puisse sa bienveillance entretenir le feu de leur Amour et leur apporter le bonheur qu'ils méritent tous les deux. Je ne doute pas qu'elle glorifiera leur future vie en apportant ses dons à Dam' et à Engherran.

Il est temps pour moi de faire taire ma harpe, afin de poursuivre notre cérémonie. Et pour l'heure je voudrais que se présente à moi les deux témoins afin que ceux-ci acceptent ce rôle qui leur a été confié, celui d'être les dépositaire de ce qui va se produire ici même, sous le regard du Soleil et de la Lune.

Peran ouvrit les bras pour accueillir les deux témoins, les invitant à venir se placer de chaque côtés du couple.

madpompon a écrit:: Mad commençait à s'impatienter.
Il murmura, un peu fort:

"bon, tu te maries vieux crabes? on commence à avoir la seche"

Il reçu coup sur coup un coup de coude dans les côtes et un coup de pied dans les tibias, le premier de la part de sa chere et tendre et le deuxieme de sa fille.

"Aieuuuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!! Mes femmes sont malades, des grandes malades."

Engherran a écrit:: Peran

Peran n'était pas particulièrement impatient, mais il aimait que tout soit rondement mené. Il regarda autour de lui puis dirigea ses yeux brun moucheté d'or vers un bosquet isolé.

Nous attendons les témoins pour l'union de Dam' et Engherran. Aucun bosquet ne saurait les dissimuler, il serait donc préférable qu'ils nous rejoignent.
Et si jamais ils ne se montraient pas je serai obligé de lancer une battue pour les retrouver, dit-il d'une voix forte à moitié amusé.

Samuel Rossal a écrit:: Jamais tranquille... A peine... Bref... Et lui qui croyait être loin des responsabilités en venant jusqu'à Autrans il se trompait. On lui disait tout le temps de mettre de coté ses devoirs, de ne pas toujours être à cheval sur ses principes et là loin de tout on lui demandait de témoigner. C'était vraiment se moquer de lui. Il avait certes donner son accord mais il faudrait que chacun ait un peu de logique. Il prit sa décision en une fraction de seconde. Relâchant la damoiselle qu'il tenait dans ses bras, magnifique d'ailleurs (Pas ses bras hein! La damoiselle !) Il remit de l'ordre dans sa tenue pendant que sa louve en faisait de même. Un sourire à tante Dee qui les avait repérés, c'était d'ailleurs la seule, les autres étaient trop occupés par le couple du jour... Si si si c'était vraiment la seule... De l'ordre donc et ils se mirent à faire le tour du bosquet afin de rejoindre les derniers invités, ceux du fond (les planqués...) Faisant l'étonné...

Nous sommes là ! Mais l'on ne nous laisse point passer ! Holà Mad ! Pourrais-tu nous laisser le passage ? Tu te feras taper sur les doigts plus tard...

Hop là... Tant pis pour lui le seigneur d'Audeghen était désormais responsable du retard de la cérémonie... Reprenant le bras de sa louve qu'il avait lâché un instant ils s'avancèrent jusqu'à Peran, il supposa que c'était lui qui hurlait depuis quelques instants puisqu'ils n'avaient point été présentés... Ils s’arrêtèrent à quelques pas et attendirent les consignes qui, soit dit en passant, ne lui avait pas été transmises...

Laurelyne a écrit:: La clairière, son père , la cérémonie...sacrebleu Sam avait eu plus de présence d'esprit qu'elle....
Elle quittait ses lèvres à regret et se faufilait à sa suite parmi les convives.
Sam ...elle le retenait alors qu'il fendait la foule...Sam..les consignes...
Ne voulant rien entendre, elle se laissa emporter par son cerf vers Péran qui lui lançait un regard mi courroucé mi amusé...décidemment cette cérémonie ne serait à nulle autre égalée...

Arrivée près de son oncle, elle lui sourit et ayant un signe de sa tête l'engageant à commencer, elle regarda son père et celle qui allait devenir sa mère et se lança...

Très chers amis, nous sommes réunis en cette belle nuitée pour l'union de deux êtres qui sont particulièrement chers à mon coeur. Damwer rebaptisée Damour depuis qu'ekle est entrée dans notre maisonnée et par là même dans le coeur de mon père, Damour donc m'a fait le très grand honneur de me choisir pour témoin de cet immense amour qui a vu le jour entre elle et papa.
C'est donc forte de cette belle histoire que j'ai vu naître que je me présente devant vous ce soir pour accueillir cette belle forgeronne comme ma mère et lui donner la main de mon père.
Moi taussi je veux bien que damour a soye ma maman d'abord, comme Loly l'a dit !!! Seren était tout sourire et avait rejoint sa grande soeur.

Cette dernière regarda son tendre cerf, l'engageant à son tour à témoigner à sa suite. Elle n'avait pas eu le loisir de lui donner les consignes mais savait qu'il s'en sortirait à merveille...

Samuel Rossal a écrit:: Sitôt arrivé il sent sa compagne lui lâcher le bras et aller se poster près de Damwer. Voyant cela il fait de même en prenant place près de son vassal. Et voilà il allait devoir improviser puisque personne ne lui avait dit ce que l'on attendait de lui. Magnifique... Comme d'habitude me direz-vous... On le laisse seul et on attend qu'il fasse des miracles. On va rire se dit-il... Jusqu'au moment ou il voit sa louve prête à prendre la parole. Flute de mince... il n'aura même pas l'occasion de faire une bourde...

Devant le regard insistant de son amour après son petit discours, il prend une profonde inspiration et se lance à son tour...

Mes amis. Il y a quelques temps de cela mon ami ici présent m'a demandé d'être son témoin. Sans hésiter j'ai dit oui. Peut-être allez-vous tous le regretter car j'ai dit oui mais sans savoir ce qu'on attendait de moi. Témoigner ? Mais de quelle façon ? Quels mots choisir ? Aucune idée vous dirais-je... Donc... Ce sera un petit quelque chose de mon cru... Témoigner donc... De l'amour que se porte ces deux êtres ? Il faudrait être aveugle pour ne pas s'en apercevoir, chaque jour que nous vivons nous voyons, je parle de ceux qui les côtoient quotidiennement, nous sommes tous témoins de l'amour qu'ils se portent. Témoigner de l'amour que mon ami, bien qu'étant mon vassal, Engherran de Kerbleiz porte à sa belle forgeronne ? S'il faut le dire haut et fort alors c'est avec plaisir que je le dit. OUI IL L'AIME ! ravi de son petit effet il reprend Vous ne pouvez deviner la joie qui me réchauffe le coeur depuis que je l'ai vu renaitre à la vie grâce à ses filles mais aussi et surtout grâce à l'amour réciproque que Damwer et lui se portent. Je dois donc être témoin... Oui je suis témoin devant vous tous de l'amour de ces deux êtres...

Nouvelle profonde inspiration une fois qu'il eut fini puis il se tourna vers Péran afin de voir s'il avait enfin commit une bourde vu l'ignorance dans laquelle on l'avait laissé ou si l'improvisation du moment l'avait sauvé du ridicule...

Engherran a écrit:: Peran

Le barde observa les futurs époux qui semblaient tout aussi amusés que lui du manège des jeunes témoins. Peran adressa un sourire à Laurelyne et posa son regard perçant dans celui de Sam comme s'il cherchait à fouiller dans son âme et peut-être était-ce même ce qu'il faisait. Après tout il s'agissait de sa nièce, mais visiblement le Seigneur de Poligny sur Drac ne semblait pas forcément le plus coupable dans cet affaire. Peu importe, il voulait voir si l'homme avait de l'humour et de l'esprit.

Et bien voilà de forts belle paroles mes nièces. Il est fort regrettable que le Seigneur de Poligny sur Drac ait eu d'autres centres d'intérêts que les consignes que je lui avais fait passer pour le serment des témoins, dit-il en contenant au mieux son amusement.
Fort heureusement il s'en est bien sorti et n'aura donc pas à avoir honte. Il possède un certain talent.
En d'autres temps, même noble, n'aurait pas eu l'affront de braver un barde. Alors en réparation, lors du festin il se devra de créer quelques vers qu'il dédiera à l'Amour et à la femme qu'il Aime. Rien d'insurmontable pour un homme aussi doué que lui, dit-il en souriant à Laure.

Il savait fort bien la vérité, mais a dire vrai, l'air embarrassé des deux Amoureux l'amusait. Il voulait donc jouer un peu avec ces deux jeunes tourtereaux.

Mais je crois que nous nous sommes égarés un peu du fait de certains égarements que nous pardonnerons ... peut-être.
Vous tous, comme Laure et Sam, comme la Lune et le Soleil, êtes venus célébrer le mariage de nos deux amis. Il es plus que temps de leur demander s'ils souhaitent toujours cette union. S'ils le veulent il devront donc prêter leurs serment d'Amour ainsi qu'échanger leur voeux devant vous tous, bonnes gens de ce monde et de l'Autre et devant la Grande Déesse qui saura bénir leur vie comme il se doit.

Alors que les deux amants confirmaient leur volonté de mêler leur vie, Peran entreprit de nouer leurs mains du coeur tendrement serrées à l'aide d'une bande de tissus d'un blanc éclatant et de liens faits à base de végétaux, des plantes symbolisant l'Amour, la fidélité, la longévité, la sincérité, la fécondité.

Une fois cela fait le barde revint à sa place. Ouvrant les bras comme pour embrasser les cieux et la clairière, Peran parla d'une voix forte et claire.

Vous tous qui êtes présent ici entendez les serments de ces deux êtres !
Qu'ils soient pures et sincères ! Parlez avec votre coeur et la force de vos sentiments.

D'un mouvement, il invita Dam' à prendre la parole.

damwer a écrit:: Dam regardait faire le barde, leur nouer les mains lui donnait des idées...

Le moment était venu pour elle de prendre la parole, elle ne savait même pas ce qu'il était important de dire, elle allait sûrement oublier le principal quoique... comment oublier qu'elle l'Aimait!

Elle plongea son regard dans celui de Laure, prit une profonde respiration et se lança.

Laure, je voudrais commencer par te remercier, il était pour moi important que tu valides l’union de ton père, et me faire l’honneur d’être mon témoin est la plus belle preuve que tu pouvais me donner se ravise non m’appeler maman est la plus belle de toutes.

Elle se mit à la hauteur de Seren, obligeant son Loup à se baisser aussi, lui sourit Merci à toi aussi mon p’tit cœur.

Se relevant, elle s’abandonna dans le regard de son Loup et laissa parler son cœur.

Moi Damwer souhaite ce soir en ce lieu dire à haute voix ce que tout le monde sait déjà JE T'AIME.
Je te promets Amour, fidélité, confiance, complicité, cela peu importe les épreuves que nous aurons à traverser.
Je promets également à tes filles de les Aimer comme si elles étaient miennes.
J'attends de toi la chose la plus simple du monde, que tout cela soit réciproque.

Cela n'était qu'un tout petit résumé de ce qu'elle pensait mais c'était le principal… quoique…

Ah oui j’oubliais, j’veux des enfants aussi ! Enfin d’autres…

Elle rayonnait, attendant de savoir ce que son Loup lui promettrait, sachant pertinemment que tout serait joliment dit, bien tourné, limite appris par cœur puisque pensé depuis des jours.

Engherran a écrit:: Engherran se tenait là devant sa douce et belle fiancée. Il avait entendu avec beaucoup d'émotions les paroles de ses filles et de son témoin qui était bien plus pour le chevalier qu'un simple ami. Il leur adressa un remerciement silencieux tandis que Peran s'amusait à taquiner le pauvre Sam. Puis se fut à leur tour de prêter serment. Le loup avait écouté la Biche avec émotion. En cet instant, plus rien ne semblait exister en dehors de la jolie forgeronne. Chacun des mots qu'elle prononçait filait droit vers son coeur comme les flèches d'un cupidon. Ses yeux s'humidifièrent des larmes de l'Amour. Par ses paroles elle acceptait de devenir son épouse. Quand elle eut fini, il resta silencieux, entendant vaguement les paroles de son frère qui l'invitait à faire de même. Il avait plongé son regard dans le sien et n'arrivait plus à s'en dégager comme envoûter par les charmes de Damour. Ce n'est qu'en sentant la main de son frère sur son épaule qu'il fut rappeler du paradis. Quand il pris enfin la parole, il ne sut pas combien de temps il était resté à la contempler.

Moi Engherran Tugdual de Kerbleiz, Seigneur d'Autrans, sous le regard du Soleil et de la Lune et en votre inestimable présence, je veux faire savoir à la merveilleuse jeune femme qui se tient devant moi que je l'Aime comme jamais je n'ai Aimé. Cette radieuse forgeronne à apporter la Lumière à mon coeur et le bonheur dans ma vie, ainsi que dans celles de mes deux adorables filles.

Je veux que tu saches ma douce Dam' que je t'offre tout mon Amour et bien plus encore, car c'est ma vie que je te donne. Je te confie mon coeur et mon âme et je souhaite que tu veille sur eux comme je souhaite le faire pour toi, dans ce monde et dans l'Autre. Notre Amour, je le désire, sera éternel.

Je te promets fidélité, sincérité et vérité, protection et bienveillance. Je serais toujours présent auprès de toi, en tout occasion à chaque instant, toujours.

Je t'accepte comme mon épouse bien Aimée, telle que tu es avec tes qualités et tes défauts comme tu m'acceptes tel que je suis. J'attends de toi, et je sais que je n'ai aucune crainte à avoir, que tu me sois fidèle et sincère. Je désire que cette complicité qui nous a amené l'un vers l'autre ne s'estompe jamais. Je veux que tu fasses partie de cette famille déjà existante et pourtant encore à construire. Et je veux te donner ces enfants que tu désires déjà.

Par ces mots je deviens ton homme, ton chevalier, ton Loup et je te prends pour épouse aussi longtemps que tu le désireras. Puisse notre Amour durer éternellement.

Alors qu'il prononçait son serment, il n'avait pas quitter la belle Damwer des yeux. Et bien que son corps tremblait, sa voix n'avait pas failli. Elle était rester calme, posée et pourtant si passionnée. Tout son être réclamait le sien, le Loup souhaitait étreindre la douce Biche et lui manifester, lui prouver la force de son Amour.

Damwer de Kerbleiz, je t'Aime, lui murmura-t-il.

damwer a écrit:: Au fur et à mesure que son chevalier parlait, ses yeux s'emplissaient de larmes de joie, de bonheur à nul autre égal.
Il savait comment dire les choses, elle n'aurait pu faire mieux d'ailleurs elle n'avait que survolé le sujet alors que lui... lui avait tout dit, si justement!

Alors que la première larme s'écoulait le long de sa joue elle lui murmura Je t'Aime et je souhaite tout autant que toi tout cela, mais je ne m'inquiète pas car tu le sais même si mes mots n'en ont pas dit autant ce soir. Mon Loup je suis à toi à jamais, mon coeur, mon corps et mon Ame t'appartiennent.

Engherran a écrit:: Peran

Peran avait entendu comme tous ici présent les serments prononcés par le deux amants. Leurs mots avaient été sincères, dits avec le coeur et la force de leurs sentiments. Personne n'avait pu ignorer les regards qu'ils s'étaient lancés et le barde n'avait jamais vu son frère ainsi. Il ne l'avait jamais vu regarder une femme avec autant de passion. Il en était persuadé, Engherran avait trouvé celle qui saurait lui donner tout ce dont il avait manqué ces 10 dernières années. Il était donc temps de les unir l'un à l'autre. C'est par leur sang, qu'ils signeront ce pacte qu'ils ont décidé de passer l'un et l'autre. Leur sang, fluide sacré, sanctifiera leur union et leur apportera les bienfaits de la Grande Déesse. Le barde attrape son petit couteau de bronze et une coup du même métal, puis s'approcha de Dam' et d'Engherran.

Damwer es-tu prête à confirmer ton serment devant celui que tu Aimes, devant ton témoin et le sien, ainsi que devant toute cette assemblée ?
Es-tu prête à verser ton sang pour Engherran de Kerbleiz, Seigneur d'Autrans ?

damwer a écrit:: Elle lui donna sa main droite, détourna le regard pour ne pas voir son sang s'écouler et commença à confirmer l'engagement qu'elle souhaitait prendre.

Je suis prête à tout pour lui, tu peux verser mon sang pour le mélanger au sien car devant vous tous réunis, devant Laure et Sam nos témoins, devant Seren, devant toi Péran sans qui cette union n'aurait pu être célébrée et enfin devant mon Amour, je confirme mon Serment, ma volonté de lui appartenir.

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

Engherran a écrit:: Peran

Peran d'un geste sec, mais sans brutalité fit verser le sang de la forgeronne dans la coupe qu'il tenait dans l'autre main. Appuyant doucement sur la blessure, il laissa couler suffisamment de ce liquide carmin, à la fois symbole de vie et de mort, pour emplir le fond de la coupe.

Par ce sang versé tu acceptes de confier ta vie à celui qui deviendra ton époux. Tu lui promets Amour, fidélité, sincérité, complicité et plein d'autre truc en -té, dit-il amusé en faisant un clin d'oeil à la jeune femme.

Engherran de Kerbleiz, Seigneur d'Autrans - et je vais m'arrêter là car je vais pas faire tout ton cursus honorum ... parce que j'en aurais bien des choses à dire, mais je vais peut-être garder ça pour plus tard avec l'accord de la future Dame de Kerbleiz - es-tu prêt à confirmer ton serment devant celle que tu Aimes, devant ton témoin et le sien, ainsi que devant toute cette assemblée ?
Es-tu prêt à verser ton sang pour Damwer, blanche Biche d'Embrun ?

Engherran a écrit:: Engherran tendit sa main droit à son frère qui l'entailla sans que le chevalier ne bronche. Sans quitter des yeux la belle forgeronne, laissa couler le sang dans la coupe.

Je suis prêt à lui donner ma vie, ici, devant vous tous. Je lui confie mon coeur et mon âme. Que mon sang soit mélangé au sien. Je confirme ainsi les paroles que j'ai prononcées, ce serment qui, aussi longtemps que tu le désires, me lie à toi pour aujourd'hui et les jours à venir.

Le chevalier se pencha ensuite vers sa petite fille et lui donna un baiser. Seren toute émue et très fière confia à son père un petit morceau d'étoffe rouge sur lequel elle veillait avec le plus grand sérieux. Soigneusement, le Loup le déplia le morceau de tissus, pour dévoiler à la belle ce qu'il contenait.

Reçois, Damwer de Kerbleiz, en gage de mon Amour la moitié de ce bijou. Porte le toujours à ton coeur comme je porterai l'autre moitié au mien. Qu'il soit l'un des symboles de notre Amour et de notre engagement l'un envers l'autre.
Je t'Aime.

damwer a écrit:: La forgeronne avait regardé son chevalier sans se douter de la surprise qui l'attendait. Lorsqu'il dévoila les pendentifs, les larmes lui montèrent aux yeux. Elle aurait aimé lui dire quelque chose mais l'accumulation de tant d'émotions était trop grande. Ses joues s'humidifièrent, son regard était plongé dans le sien, elle lui souriait simplement en le laissant lui passer le symbole de leur Amour autour du cou.

Engherran a écrit:: Peran

Après que Peran eut reçu le sang de son frère, il se rapprocha de "l'autel" afin de déposer la lame qui avait entaillé les mains des deux amants. Tenant fermement la coupe de bronze, il ajouta un liquide au contenu de celle-ci.

Que le sang de l'un devienne le sang de l'autre !

N'oubliez jamais vos paroles d'Amour et d'honneur. Que le feu de la Grande Déesse Brigid anime votre passion à tout jamais, qu'elle reste brûlante.

Lorsque le barde prononça le mot feu, à l'aide d'un petit tison, enflamma l'intérieur de la coupe qu'il leva bien haut au dessus de sa tête pour que l'assemblée réunie puisse la voir.

Devant vous tous, devant les dieux, par vos serments, je vous déclare époux et épouse. Que votre vie soit douce et heureuse.
Tu peux embrasser le marié, dit-il à Dam' avec un clin d'oeil.

Il laissa le jeune couple Kerbleiz s'embrasser passionnément avant de reprendre la parole d'une voix forte.

Et puis temps que je suis par là, s'il y en a d'autres qui ont des envies de mariage à l'ancienne qu'ils le disent maintenant ou se taisent à jamais, clama-t-il amusé. Il avait toujours voulu dire cela.

Peran posa "l'air de rien" son regard sur les deux témoins avec un grand sourire à sa filleule avant de regarder chaque invité.

Lora de Sinard a écrit:: Lora,avait assisté, avec une profonde émotion a l'union de ces deux amis ,si chers a son coeur.
La nuit avait étendu son voile,la lune,cette déesse,entourée de myriades d'étoiles dorées,venaient de servir de témoins a l'union sacrée des deux amants.Leur sang que venait de mêler Péran ,dans la coupe,rouge comme la rose,rouge comme la passion,rouge comme le rubis,leur couleur a eux deux,la couleur de l'amour profond le vrai ,le pur, le sublime.
Elle était la contre un arbre,pleurant a chaudes larmes.Elle attendit avant de s'avancer ,pour féliciter ses amis et les embrasser.De jolis souvenirs ,encore très proches revenaient en sa mémoire, à tout jamais enfouis,seul resterait une amitié indestructible, entre elle et son doux poète .

Elle s'approcha de Peran.Mon cher Peran,quelle belle cérémonie,que du bonheur,de voir mes merveilleux amis unis ce soir.
S'unir a l'ancienne,oh cela me plairait bien ,mais le prince charmant le vois tu, Peran,toi dit moi ? si ce grand bonheur se présente a moi,je te fais signe se rapprochant ,lui murmure,regarde les deux tourtereaux ,Laure et Sam,pourraient bien être les prochains,tu ne penses pas ? dit t-elle d'un regard amusé,en voyant les deux tourtereaux,enlacés,la main dans la main.

J'espère mon cher Peran,que tu ne resteras pas des lustres, sans passer sur notre belle cité,sinon ,je selle Estrella et je galope et vient te chercher dans ta forêt
elle se permit le connaissant tout de même peu, de lui donner un baiser.

Lora s'approcha des époux [/i]

Chevalier Engherran,Dam de Kerbleiz,félicitations et quel bonheur d'avoir partagé avec vous deux mes chers amis,ces purs moments de bonheur.

s'approche et les serre dans ces bras et leur donne a chacun un baiser.

madpompon a écrit:: Mad et sa petite famille s'approcherent également des mariés.

Il donna l'accolade à son ami, lui pinça gentiment une fesse et lui dit:
"Toutes mes félicitations vieux crabe"
Il sourit à son ami puis se tourna vers Dam.
Désolé, je n'ai pas encore les mêmes affinités avec ta Dame . Toutes mes félicitations Dam.
Il colla un gros poutou sur chaque joue de Dam

Puis vient ses 2 fils. Ils félicitèrent rapidement les nouveaux époux.

Suivit de Damoiselle leur fille Léa.
A sa vue, Kerb commença à se raidir.
Elle leva le pied... et avec son air taquin, elle vint essuyer sa chaussure sur le pantalon de Kerb.
T'as vu Tonton Kerb, z'ai des belles chaussures hein?
Elle parti en fou rire, tendit les bras afin que Kerb l'attrapa.
Ze t'aime tonton Kerb, dans tes bras !!!
Dés qu'il l'eut pris, elle lui colla 2 gros bisous super baveux sur les joues.

Elle tendis les bras à Dam.
Dans ses bras, elle lui dit
Tu sais, maintenant que tu a pris mon vilain tonton comme mari, t'es ma tata. Ze t'aime tata.
Elle lui murmura à l'oreille.
Dis tata, ze peux continuer à lui donner des coups de pieds à mon tonton quand il embette mon papa?

Samuel Rossal a écrit:: Tu parles de consignes toi... Pas comme si il était venu se présenter le barde et lui annoncer ce qu'il devait faire. Il devait avoir de grosses pertes de mémoire le pauvre breton... Il lui faudrait peut-être aller voir Isa à l'hôpital du Pont du Rhône à Lyon pour se faire examiner. Sait-on jamais il pouvait surement être soigner à temps avant que ses pertes de mémoire ne deviennent permanentes. Il pouvait bien s'asseoir sur une nouvelle intervention de sa part désormais. Il était gentil le vicomte mais tout barde qu'il était il pourrait toujours attendre... Même s'il se doutait qu'il n'y avait rien de méchant dans ces paroles, il n'était pas homme à danser lorsqu'un barde claquait des doigts il aurait du mieux s'informer avant de commencer à vouloir lui faire faire quoique ce soit...

Il se reconcentra sur le reste de la cérémonie, après avoir posé un regard insistant et lourd de sous-entendus au frère de son ami afin qu'il comprenne bien que le vicomte ferait ce qu'il voudrait et quand il l'entendrait... Écoutant les paroles que s'échangeaient le couple et regardant par moment sa louve il oublia peu à peu le barde... Il vit avant les autres invités le cadeau fait à Damwer, se trouvant à coté de Seren. Admirable travail de précision... Mais fut interrompu dans ses pensées par ce fichu barde qui décidément ne savait jamais se taire lorsqu'il le fallait et l'ouvrait aussi souvent qu'il devait se taire. Sam releva les yeux vers sa louve qui semblait elle aussi plongé dans ses pensées et lâcha à l'attention du barde.

Surement dans l'assemblée se trouve-t-il des amateurs de mariage, point ici... puis se dirigea vers le couple pour les féliciter...

Laurelyne a écrit:: Elle buvait littéralement les paroles prononcées par celle qui devenait sa mère par la volonté de son père et l'amour qu'il lui vouait. Le coeur de Laure retrouvait un peu de chaleur en les voyant si heureux même si elle ne put s'empêcher de regarder vers les cieux un moment...Sam, qui avait toujours un regard posé sur elle, s'en aperçut et l'enveloppa de son regard protecteur, un léger sourire au visage, gardien de son coeur.

Seren rayonnait, gardienne du joyau que son papa lui avait confié. La petite avait fait tourné la tête d'Aurore avec ce secret si grand pour une petite fille. Elle avait eu toutes les peines du monde à le conserver sans en ameuter tout le village...Elle tenait ce bijou avec fierté, les pupilles emplies d'étoiles et un large sourire découvrant ses quenottes. Laure lui lança un clin d'oeil pour l'encourager alors qu'elle s'avançait tremblante d'émotion.

Laure tourna les yeux vers le témoin de son papa. La même émotion , la même complicité, le même éclat, ils savaient l'un et l'autre qu'un jour...frisson qui lui parcourait l'échine lisant en lui ...mais surprise quand son oncle les interpella. Sam la devança pour répondre lui évitant ainsi tout embarras...Réponse faite, elle se dirigea vers ses parents pour les embrasser, puis passant tout près de lui, murmura dans un souffle alors qu'elle le frôlait...Tu as sauvé ton célibat Samuel, mais de justesse...sourire mutin aux lèvres, alors que Seren venait déjà pour savoir si elle avait été merveilleuse ou juste extraordinaire dans sa lourde tâche, persuadée que la cérémonie et surtout sa réussite ne dépendait que d'elle...

chouquette a écrit:: chouquette finissait son bout de pain quand elle vit arriver a elle la petite seren , toute contente , chou lui tend les bras et l'acceuille pour un gros calin , la ptit vient ensuite se caler tout contre elle , et chou la prend dans ses bras ... bonjour seren , suis trés heureuse de te revoir tu m'as enormément manqué ... toi ... et ta famille ... chou s'arrete la pour ne pas pleurer il est vrai qu'aprés son depart d'embrun elle s'est enfermée dans une profonde solitude ne sortant plus de chez elle et ne parlant qu'a grisou ... effectivement la conversation etait donc limitée ... reniflant elle sourit a la gamine ... alors raconte moi t'as une nouvelle maman , ton rêve se realise enfin .... suis curieuse de la voir tu sais .... ses paroles furent surement entendues par le trés haut car c'est a cet instant precis que le couple fit son apparition , la seren se mit a courir aussitot vers eux et la chouquette se reléve pour mieux les voir , mais une foule de grands s'amassent devant elle et mmggggg ... mission : passer coute que coute a travers toutes ses grandes jambes , bottes , chausses braies et froufrous pour voir son chevalier engherran se marier nan mais dis ...

grisou sur les talons , la chouquette a 4 pattes tentent de se frayer un chemin , mordant aux passage ceux qui ne la laissent pas passer , et laissant grisou faire de pprrrrrrrfffffff chiiiiiiiiiiii pffffffr pour leur faire peur ... et enfin elle les voit ... se redresse juste devant tout le monde levant son nez en air de défi aux grands derriéres elle leur laissant peu de chance de protester puis retourne son regard vers les amoureux ... y a pas a dire , elle est belle la dame d'engherran , et il a l'air si heureux , ainsi que la petite d'ailleurs ... chou se tourne pour voir arriver laure quelque peu decoiffée ... ba qu'est ce qu'elle a fait ... elle tente de se montrer mais la demoiselle n'a de yeux que pour celui qui est a ses cotés ... pas grave elles se verront aprés ... tout sourire chou assiste a la ceremonie quand d'un coup tout le monde se deplace vers eux et les felicite ...

attendant sagement que la foule se dissipe , chou reste la en gratouillant grisou

Engherran a écrit:: Tous venaient les féliciter, les embrasser pour leur nouveau bonheur. Engherran, au côté de son épouse, était plus qu'ému. Il lui serrait tendrement la main l'observant, l'admirant dès qu'il le pouvait. Elle était belle son épouse avec son pendentif symbole de leur union, de leur mariage. Le chevalier dût lâcher sa belle pour remercier sa grande fille par une douce étreinte et la plus petite par un très gros bisou.

Vous avez été parfaites, dit-il à ses filles. Je suis un père comblé d'avoir d'aussi merveilleuses enfants. Je suis si fier de vous.
Je vous aime toutes les deux.

Visiblement le moment était à l'émotion et le Loup ne put retenir ses larmes plus longtemps. Il serra encore une fois la Petite Louve devenue jeune femme et la Petite Étoile, puis il leur donna un tendre baiser. Seren allait sûrement rejoindre Chou' et Laure irait sans doute trouver un peu d'Amour dans les bras de Sam. Sam, lui aussi devait être remercié. Engherran lui donna une franche accolade, les yeux encore humide de l'émotion du moment.

Merci, mon Ami. Merci d'avoir été là près de moi. Je n'oublierai jamais.
Et pour ce qui est de Peran, n'ais pas d'inquiétude, il est ainsi avec les gens qu'il sait avoir de l'esprit. Il cherche à jouter avec toi, avec ses armes à lui, pour le plaisir. Il cherche juste à connaitre celui qui fait battre le coeur de sa nièce.

Il rejoignit ensuite Dam' qui était en présence de Lora. Il reçurent avec plaisir ses félicitations et ses voeux de bonheur ainsi que ceux de Mad, de Cherry et de leurs enfants. Du bonheur il y en avait et le jeune couple comptait bien profiter de ce que la vie leur apporterait. Après avoir remercier leurs amis. Engherran se dirigea vers une petite fille qui semblait attendre sagement son tour. Le Loup entraîna la Biche un peu à l'écart pour lui présenter la petite Chouquette. Il se baissa pour se mettre à son niveau et prit l'enfant dans ses bras. Il l'aimait vraiment beaucoup, comme l'une de ses filles.

Ma chérie, je te présente la petite Chouquette.
Chou', voilà Dam' ma belle et douce épouse, annonça-t-il avec bonheur.
Je suis vraiment très heureux que tu ais pu venir. Grain m'a dit combien tu semblais t'ennuyer. Si tu le désires, nous te ferons aménager une chambre et tu pourras rester aussi longtemps que tu le désires. Si tu le veux.
Avec nous tu es chez toi.

Mais pour le moment, je te laisse un instant car il faut que j'annonce la suite des festivités.
Je te laisse avec Damour.

Engherran serra encore une fois la fillette dans ses bras, comme un père avec son enfant, puis après avoir donné un tendre baiser à la Dame de Kerbleiz se dirigea vers une grosse pierre sur laquelle il grimpa avec agilité.

Mes amis ! D'abord merci à vous tous d'être venus. Cela nous touche plus que vous ne l'imaginez et nous somme véritablement honorés de votre présence. J'espère que vous accepterez de vous joindre à nous pour le repas qui nous a été préparé dans la grande salle du château.
Encore une fois merci, dit-il les yeux à nouveau mouillé par l'émotion.
Merci du fond du coeur.

chouquette a écrit:: et des bisouilles et des larmes et des calins , chou regarde bien en retrait pour ne gener personne , elle sourit inconsciement en voyant cette famille si chére a son coeur etre si heureux ensemble , elle regarde engherran qui semble rayonné et epanouit , elle est vraiment heureuse pour lui , pour eux ... un instant chou pense croiser son regard mais nan il est occupé avec tout ses amis , mais finalement si ... le coeur battant chou sert un peu plus fort grisou en voyant le couple s'avancer vers elle , intimidée elle voit engherran se mettre a sa hauteur et la serrer fort contre lui ... automatiquement le grisou s'echappe et la chou passe ses bras autour du cou du chevalier les larmes aux yeux , elle est si heureuse de le revoir , lui , les filles , embrum ... il la relache pour lui presenter sa dame et chou tente son plus beau sourire en lui faisant une courbette ...

enchantée madame engherran et mes felicitations , votre bonheur a tout deux fais plaisir a voir je vous souhaite une vie longue et heureuse ... souriant aux deux quand engherran parle de monsieur grain et d'une eventuelle chambre pour elle ... le sourire s'efface , la gêne l'envahit ... elle ose a peine regarder la dame , elle veut surtout pas etre un fardeau qu'on traine derriére , et ne pas etre une gêne dans leur famille , surtout pas venir faire le boulet alors qu'ils viennent a peine de se marier , pis elle peut pas abandonner monsieur grain même si finalement elle l'abandonne deja en restant cloitrée chez elle ....avec nous tu es chez toi ... le coeur de chou se gonfle d'emotion , une famille une vraie lui tend les bras ... et les larmes reviennent mouiller ses yeux ... elle regarde ses pieds et grisou et renifle fort pour ne rien laisser paraitre , ne rien dire , ne pas mendier et ne pas embeter ceux qu'elle aime ... courageusement chou reléve la tete et sourit a engherran et a sa belle dame aprés un dernier calin celui ci repart aussi vite prevenir ses invités de la suite de la ceremonie ...la laissant avec damour ?

les mains derriére le dos toujours intimidée chou la regarde sourire discret la trouvant tellement jolie et d'une petite voix ...il est gentil hein oui ...vous allez etre bien avec lui ... puis lui sourit sincérement .

damwer a écrit:: Dam suivit son époux qui l'emmena jusqu'à une petite fille qui attendait sagement son tour. Chouquette... la fameuse Chou.... celle qu'Engherran considérait comme sa troisième fille...
Cette petite devait vraiment aimer cette famille pour parcourir autant de route seule avec son petit Grisou.

La forgeronne n'avait pas la même appréhension qu'avec les "grands" et oui, les enfants montrent et disent ce qu'ils pensent. Elle se mit à genoux dans l'herbe, oubliant sa tenue et la propreté qu'elle devait présenter. Elle souriait amusée de voir la petite si gênée, elle n'imaginait pas faire cet effet là, aussi elle corrigea tout cela.

Bonjour Chouquette, tu sais avec moi il n'y a pas besoin de courbettes ou de madame, dans ta bouche un petit Dam' suffira. Je suis enchantée de te connaître aussi car Engherran me parle régulièrement de toi Dam' avait bien remarqué ses yeux emplis de larmes à l'évocation de la chambre crois moi s'il te propose une chambre c'est que tu peux l'accepter sans t'inquiéter, cela ne pourrait que faire plaisir à toute la famille.

La Biche tendit les bras, espérant pouvoir lui faire un câlin, qu'elle comprenne qu'elle n'était point là pour la chasser, que son bonheur passait par celui de son chevalier. Ne voulant tout de même point la brusquer, elle attendit de voir si elle l'acceptait ou si elle préférait la connaître un peu plus avant de lui accorder un peu de confiance.

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