Mariage d'une colombe et d'un cerf

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

--Henriot a écrit:: [En pleins préparatifs. J - 5]

Comment ça stressé ? Mais non voyons il ne l'était absolument pas stressé le pauvre Duc... Enfin le pauvre... C'était surtout ses serviteurs qu'il fallait plaindre en ce moment. Pas qu'il leur tapait dessus, ce n'est pas un sauvage... Simplement il les harcelait d'ordres et de contre-ordres pour un rien. Tantôt il parlait de préparer les chambres à l'Hôtel de Lyon afin de servir d'étape pour les invités venus de loin, tantôt il disait de faire réserver plusieurs chambres dans les meilleures auberges. Tantôt il ordonnait de remplir la cave de Lyon, puis finalement non il fallait tout envoyer à Sassenage puisque de toute façon la cave était pleine. Tantôt il disait qu'il allait choisir lui-même les crus et les millésimes à servir tantôt il me demandait de le faire puisque dans une autre vie c'était mon métier.
Bref je l'aime bien mon Duc mais parfois il est un poil casse pied. Là il a tout de même une excuse. Il va se marier et la future Duchesse est un ange. Qui eut cru que mon maitre retomberait dans le piège de l'amour. Pas lui en tout cas et encore moins moi. Vu la vie monacale qu'il avait c'était presque joué d'avance... Comme quoi les apparences sont trompeuses très souvent.
Ah ! Le voilà qui m'appelle... Attention qu'a-t-il à demander cette fois ? Je monte les quelques marches qui sépare mon office de son propre bureau, frappe à la porte et entre après en avoir reçu l'autorisation...

Votre Grâce ?

Ah ! Henriot ! Fort bien tu es encore là. Te connaissant tu as donné des ordres pour ce qui est de l'hôtel mais qu'en est-il de Sassenage ? La cave ?

Remplie et prête à être vidée. Avec quelques bouteilles spécifiquement mises de côté pour vous et le Duc de Montmaur.

Les jardins ?

Les arbres ont tous été taillés il y a quelques jours, les haies également, les fleurs ont été protégées du mauvais temps et des dernières gelées.

Bien tout ça. La grande salle ?

Les chandelles des lustres ont toutes été changées, il y en a plusieurs caisses en cas de besoin. Les miroirs et portraits sont luisants de propreté.

Parfait. Les chambres ?

Votre Grâce j'avais justement besoin de votre avis la-dessus. Cellles des invités sont prêtes évidemment mais plusieurs ont été mises de côté car je voulais savoir s'il y allait y avoir des besoins partculiers ou des hôtes de dernière minute...

Eh bien... Ma future épouse n'ayant pas encore... Disons qu'il va lui en falloir une bien à l'abri des regards. Surtout du mien évidemment. Pour y mettre ses toilettes et... le reste même si je ne sait pas vraiment en quoi cela consiste... Donc oui il en faut une et puis juste à côté ou en face comme tu veux il faudrait que tu en prépares une autre pour Sixtine. Pour les autres invités je suppose que tu as déjà fait le nécessaire ?

Oui en effet Votre Grâce. Je vais faire donner des ordres spécifiques pour ces deux chambres. Autre chose ?

Pour le moment non. Tu peux y aller...

Saluant le Duc je m'éclipsais afin de descendre aux cuisines et y trouver le jeune Louis. Il irait lui-même à Sassenage dès aujourd'hui afin de faire préparer les deux chambres.

Bertylle a écrit:: [En pleins préparatifs. J - 2]

Tandis que ma maitresse et sa famille prenaient un peu de repos, je rassemblais ce que je devais porter à l’hôtel de Sassenage, la robe délicatement posée sur mon bras, et me dirigeai vers le centre du village. Le temps était doux, le ciel n'était peuplé que de longs nuages épars et inoffensifs, laissant le soleil apporter sa chaleur clémente. Tout en cheminant, je pensais à ma jeune maitresse. Cette toute jeune fille que je servais depuis tant d’années était la douceur et la gentillesse même, toujours prompte à aider son prochain, qu’il soit noble ou manant, et elle n’avait jamais compté les heures pour son duché non plus. Elle méritait bien le bonheur qui s’offrait à elle aujourd’hui.

Mon cœur se serra en pensant au nombre de fois où je l’avais entendue pleurer la nuit. Je connaissais le secret de son cœur, mais je n’étais qu’une servante illettrée et incapable de l’aider.

Mais aujourd’hui était un jour de joie, mes prières avaient sûrement ému le Très Haut, car Il avait fini par réunir deux êtres qui s’attendaient. J’étais heureuse de la voir si gaie, si pleine de vie le rire toujours aux lèvres et les yeux pétillants de bonheur. Cela faisait bondir mon propre cœur de joie et frémir la moindre parcelle de ma peau. Moi si dévouée à ma maîtresse, c'était un peu de mon être qui s'ouvrait aujourd'hui au bonheur par procuration.

J’arrivais enfin devant la demeure, je cognais à la lourde porte, qui s’ouvrit presque aussitôt. Le majordome me sourit d’un air chaleureux.

Le bonjour, je suis Bertylle la suivante de damoiselle Aelys et je viens préparer sa chambre.

Oh oui bonjour ! Je t’attendais, mon maitre m’avait prévenu, je suis Henriot, suis-moi.

J’entrai et m’arrêtai un instant, admirative et intimidée par le faste du grand hall. Je n’avais jamais rien vu d’aussi grand et d’aussi beau. Comment le décrire ? C’était un véritable palais, comme on pouvait l’entendre dans les contes pour enfants.

Alors tu viens ou dois-je venir te chercher ?

La voix d’Henriot me tira de ma rêverie, et je me secouai, revenant brusquement à la réalité.

Oui oui ! Pardon, j’arrive

Je montai le large escalier à sa suite, un long couloir avec des chambres de chaque côté. Lequel couloir rivalisait de beauté avec le hall. Pas un seul pan de mur qui ne soit orné tantôt de peintures, tantôt de trophées de chasse, de tentures ou d’armes d’ornements, le tout ponctué par des chandeliers muraux, si nombreux que j’en aurai presque plaint le valet qui en avait la charge.

Enfin, Henriot ouvrit une porte et me laissa passer. Au milieu de la pièce trônait un immense lit à baldaquin. Le couvre lit était de velours grenat, joliment assorti au reste de la chambre. J’y déposai délicatement la robe.

Je t'attends en bas.

Oui merci Henriot, je ne serais pas longue.

De somptueux fauteuils étaient près de la fenêtre, je m’en approchais et caressant le velours, je regardais le jardin impeccablement entretenu. Et dire que bientôt, ma jeune maîtresse aurait cette vue tous les matins en se levant. Et on ne pouvait en espérer de plus belle. J’en étais toute émue en y pensant. L’avais-je déjà dit ? Ma maîtresse le méritait tant !

Un épais tapis de laine couvrait le parquet, je souris en pensant à ma jeune damoiselle, qui adorait marcher nue pied dans la maison. Au mur, une tapisserie représentant une dame et une licorne. La tapisserie semblait neuve ; pour sûr, ce devait être une tendre attention de Sa Grâce pour sa jeune promise ! Il devait savoir qu’elle adorait les licornes.

Enfin dans l’autre coin de la pièce, une table de toilette surmontée d’un miroir. A côté se dressait une psyché ou l’on pouvait se voir entièrement. Tout était meublé avec un goût certain, et surtout pour répondre au moindre besoin d’une femme.

Je sortis le nécessaire de toilette, les parfums et les poudres, et disposai le tout sur la table. Puis je suspendis la robe et me reculais pour l’admirer. Qu’elle allait être belle ma chère dame dedans ! Sa fine silhouette et la moindre de ses courbes seraient mise en valeur, sans parler de la couleur qui ferait ressortir le cuivré de ses cheveux. Les voiles, nombreux, donnaient un air aérien à l’ensemble.

Faisant le tour, énumérant la liste des choses à faire dans mon esprit, je m’assurai par trois fois de ne rien avoir oublié avant de sortir de la chambre en refermant derrière moi soigneusement. Henriot m’attendait patiemment pour me raccompagner à la porte d’entrée.

Merci Henriot et n’oubliez pas de fermer à clé, ma maitresse ne veut pas qu’on y entre et surtout pas Sa Grâce, il ne doit pas voir la robe.

N’aies crainte Bertylle. Je vais retourner fermer de suite, au revoir à très bientôt !

Au revoir Henriot à bientôt.

Je repris le chemin de la maison le cœur léger et heureux. Mes pieds semblaient survoler le pavé de la rue tant mon esprit était en fête. Ma maîtresse avait trouvé le bonheur, son âme sœur. Elle allait se marier pour le meilleur, oh oui ! Et l’avenir lui semblait tellement souriant ! Les années sombres de souffrance et de douleur étaient terminées, j’en étais intimement convaincue. Et dans mon rôle de suivante, j’étais bien décidée à veiller dans l’ombre à ce que ce bonheur ne se termine jamais.

Sixtine_cypher a écrit:: [En pleins préparatifs. J -1]

C'est accompagnée de sa fidèle Justine que Sixte se mit en route pour rejoindre Aelys.

comme d'habitude Justine râlait,

J'ai l'impression d'être assise sur des noyaux de pêches ! Les routes sont de plus en plus mauvaises,

Sixte soufflait elle n'avait pas envie de supporter le jérémiades de sa servante.

Arrêtes Justine ! Nous n'y pouvons rien ! Ha j'espère que tu a bien protégé ma robe, tu sais je suis très contente pour Aelys et Sam, ils sont adorables tous les deux et je leur souhaite sincèrement d'être très heureux.

Ha nous voilà arrivées, tu vas voir je ne suis venue qu'une fois à Sassenage c'est une magnifique demeure. Vas nous annoncer s'il te plait.

Après avoir joué du heurtoir sur la porte, Justine se présenta

Bonjour, nous sommes attendues Sixtine Cypher Dame de Villars de Lans, témoin de mariage de la Dame de Sainte Colombe sur Soyan.

--Henriot a écrit:: Depuis le départ de la servante de la future duchesse il avait l'impression de ne pas avoir arrêter. La finalisation de la réception, des chambres des invités, de la cave, des jardins, des écuries pour les équipages... Il avait même prévu les choses les plus extravagantes possibles pour la saison du style nourriture hors saison importée des pays voisins.
Il avait dédié un serviteur pour accueillir les invités, il lui avait fait apprendre les titres de toutes et tous et également une description de chacune et chacun histoire de pas passer pour un bourrin. Il avait fait faire de nouvelles tenues pour tous les serviteurs de Sassenage. Tout était fin prêt pour le lendemain. Un dernier tour au niveau des chambres afin de vérifier que la chambre de la mariée était bien enfermée et il redescendit aux cuisines...

Il discutait avec la cuisinière en chef lorsque l'on vint l'avertir qu'un équipage venait de s'engager dans l'allée du chateau... Vérifiant sa mise en passant dans le hall d'entrée il attendit que les visiteurs se signalent... Puis il ouvrit lui-même la grande porte...

Bonjour, nous sommes attendues Sixtine Cypher Dame de Villars de Lans, témoin de mariage de la Dame de Sainte Colombe sur Soyan.

Soyez les bienvenues. Dame Sixtine... fit-il en s'inclinant Ravi de vous revoir en ces lieux. Je vous en prie donnez-ous la peine d'entrer. Avez-vous fait bon voyage ? Souhaitez-vous quelques rafraichissements ?

--_Walik_ a écrit:: Il n'allait surement pas être en retard cette fois. C'est à grands pas, certes légers, qu'il arrivait sur les lieux. Toujours habillé de son éternelle toge noire, capuche baissée sur le visage, Grande-Faux dans la main droite, il hésita à s'adresser au portier:

-"Bonjour, je suis Walik de Chavannes, du Cimetière de Embrun, dict "La Grande Faucheuse", et je suis attendu."

Puis il sourit, la bouche étant la seule chose que l'on pouvait distinguer, et avança pour franchir la porte avant de s'arrêter pour regarder le serviteur:

-"N'ayez pas cette air si inquiet ou effrayé, j'ai la capacité de m'introduire partout sans être remarqué, voir même d'être derrière vous depuis des heures à vous surveiller, sans que vous ne le voyez, votre maître ne vous dira rien. Je vais entrer et attendre dans le petit salon qu'on vienne me chercher."

Puis il se mit à rire de son rire diabolique:

-"MOUAHAHAHAHAHA!!!!"

Walik entra dans la demeure et s'installa paisiblement, assis sur un fauteuil, dans le petit salon.

--Bertylle. a écrit:: J'étais dans la chambre de ma jeune maitresse, nous commencions à peine à la préparer pour ce jour de fête, quand on vint m'avertir qu'un invité était déjà là.

Sur ordre de ma jeune dame, j'allais au salon voir de qui il s'agissait, je frissonnais en le voyant, je me signé rapidement

Le bonjour messire, je suis Bertylle la suivante de notre jeune mariée, soyez le bienvenue, mais peut être devriez vous aller à l'église assister à la bénédiction nuptiale? ma dame n'est pas encore prête et le carrosse doit venir la chercher pour l'y conduire.

Sixtine_cypher a écrit:

Comme toujours Henriot était parfait, ! Elle lui dédia un charmant sourire puis répondit à sa ou plutôt ses questions

Citation :: Soyez les bienvenues. Dame Sixtine... fit-il en s'inclinant Ravi de vous revoir en ces lieux. Je vous en prie donnez-ous la peine d'entrer. Avez-vous fait bon voyage ? Souhaitez-vous quelques rafraichissements ?

Merci Henriot c'est un plaisir pour moi également,
Oui j'ai fait bon voyage
Non pour l'instant je n'ai pas soif

Je vais rejoindre ma chambre, car j'ai l'intention de profiter de ma chère amie avant qu'elle ne prenne époux.

--_Walik_ a écrit:

--Bertylle. a écrit:: Le bonjour messire, je suis Bertylle la suivante de notre jeune mariée, soyez le bienvenue, mais peut être devriez vous aller à l'église assister à la bénédiction nuptiale? ma dame n'est pas encore prête et le carrosse doit venir la chercher pour l'y conduire.

Walik observa la servante et lui sourit:

-"Bonjour Dame Bertylle, je suis le Seigneur Walik de Chavnnes, du Cimetière de Embrun, dict "La Grande-Faucheuse". Je vais, dans ce cas, aller de ce pas à l'Eglise, veuillez transmettre mes amitiés à Dame Aelys."

Cela lui faisait toujours bizarre de se présenter ainsi, il n'y avait pas longtemps, il n'était que "Sire" Walik du Cimetière de Embrun, le préfixe de "Sixe" ne lui étant attribué qu'à titre honorifique.
Il se leva et lui sourit, lui faisant un baise-main au passage, tout en lançant une dernière phrase avant de partir pour l'Eglise:

-"Je vous souhaite une agréable journée."

En partant, il croisa Sixtine et lui fit un signe de tête:

-"Bonjour Sixtine, je pensais être en avance, mais l'on m’envoie à l'Eglise. Nous nous retrouverons là-bas."

Il lui sourit et quitta le domaine.

Citation :: Bonjour Dame Bertylle, je suis le Seigneur Walik de Chavnnes, du Cimetière de Embrun, dict "La Grande-Faucheuse". Je vais, dans ce cas, aller de ce pas à l'Eglise, veuillez transmettre mes amitiés à Dame Aelys."

Ce sera fait messire

Le regarde partir médusée, il l'avait appelé "dame" bien la première fois qu'on l'appelait ainsi, elle resta un moment à regarder sa main, pour sur que sa demoiselle aurait bien rit en voyant ça, elle haussa les épaules et couru rejoindre sa maitresse, non sans avoir salué la jeune dame qui venait d'arriver.

Aelys_rossal a écrit:: J’étais arrivée la veille à l’hôtel de Sassenage. Après m'avoir aidée à descendre du carrosse, Henriot m'avait conduite à ma chambre. Elle était aussi belle que Bertylle me l’avait décrite. Je souris, attendrie à la vue de la tapisserie, une attention qui me touchait.

Nous avions passées ma dernière soirée de jeune fille dans la chambre de Sixtine qui était arrivée un peu avant moi, nous avions passées la soirée à discuter en compagnie de Gwenn qui avait délaissé son Phé pour rester un peu avec nous. La soirée avait été un mélange de rires et d’inquiétudes pour moi. Je me posais milles questions sur un sujet qui me faisait un peu peur, mais l’une comme l’autre avaient su me rassurer, riant malgré tout un peu de ma naïveté sur le sujet.

Quand elles furent parties je m’installais dans un des fauteuil, incapable de dormir. Je rêvassais à notre avenir, quand la voix de Bertylle me fit sursauter.

Damoiselle ! Il est temps de dormir, sinon demain vous aurez du mal à tenir toute la journée, de plus vous allez gâter votre teint, ce qui serait fort dommage d’avoir une si jolie mariée avec des traits brouillés.

Tu as raison Bertylle je viens, mais j’ai peur de ne pouvoir dormir tant je me sens fébrile.

Tout se passera bien damoiselle, vous avez tout si minutieusement préparé qu’il ne peut en être autrement.

Je l’espère ma brave Bertylle, j’aimerais tellement que tout soit parfait.

ça le sera damoiselle n’en doutez pas, et à présent votre lit est prêt.

Je me couchais sagement mais le sommeil fut long à venir, et court à rester. L'aube me trouva déjà éveillée.

Je me levai et me dépêchai de boire le lait que Bertylle m’avait montée des cuisines, puis m’habillai à la hâte, impatiente d’aller voir si l’église avait bien été décorée exactement comme je le souhaitais. Je ne fus pas déçue, bertylle avait fait un travail magnifique.

Merci Bertylle c’est splendide, c’est exactement ce que je voulais ! Hâtons-nous à présent il va être temps de se préparer.

Puis j'entrai dans ma chambre ou mes deux amies m’attendaient.

Gwenn_de_lescart a écrit:: C'était le jour J. Excitée comme une puce depuis l'aurore, Gwenn ne savait pas rester en place, son coeur battait follement dans sa poitrine, et elle ne cessait de tordre ses mains nerveusement. Sa chère, chère et douce petite soeur se mariait ! C'était une aventure tellement exaltante, un bouleversement dans la vie de la jeune dame de Lans, un jour qui restera marqué à jamais.

Elle se rappelait ses propres épousailles, moment merveilleux et divin au possible, qui restaient gravées en sa mémoire comme si elles avaient eu lieu la veille. Le seul avantage qu'elle avait sur sa cadette, c'est qu'elle savait comment se passait... "l'après". La veille au soir, elle avait tenté avec Sixtine de dédramatiser quelque peu cette consécration, qui la ferait devenir femme à part entière. Y étaient-elles parvenues ? Elle l'espérait. Il aurait été dommage que cette anxiété vienne ternir le plaisir de leur union.

Si Gwenn était aussi anxieuse que sa belle-soeur, ce n'était pas forcément pour les mêmes raisons. En effet, douée - parait-il - de quelques talents en couture, Aelys et Sam lui avaient fait l'honneur de lui commander leurs tenues de cérémonie. Elle n'avait pas le droit à l'erreur, et priait le Très Haut que tout se passe bien. Il aurait été malheureux qu'une couture ou un ruban lâche au moment le plus crucial ! Pour sûr que le prêtre officiant en serait choqué... Pour les siècles des siècles !

Secouant la tête pour dissiper cette pensée à la fois catastrophique et pointée d'humour, la jeune femme se rendit à Sassenage pour aider aux ultimes préparatifs de la future mariée. Celle-ci avait insisté pour qu'elle l'aide à s'habiller, mais Gwenn ne s'était pas faite prier. Si une ultime retouche devait être faite, autant s'y prendre un peu à l'avance. Henriot l'introduisit rapidement dans la chambre amménagée à cette occasion, et Gwenn y retrouva Sixtine, qu'elle embrassa chaleureusement. Aelys arriva presque sur ses talons, et la jeune femme lui offrit un large sourire, l'accueillant sur ces mots :

Bonjour jeune damoiselle ! Il est grand temps d'endosser cette robe ! J'imagine que tu dois brûler d'impatience !

Aelys_rossal a écrit:

J'entrais et sourit heureuse en voyant mes deux plus chères amies, je courus les embrasser

Citation :: Bonjour jeune damoiselle ! Il est grand temps d'endosser cette robe ! J'imagine que tu dois brûler d'impatience !

Ouiiiiiii! Elle est tellement belle, j'espère que Sam aussi la trouvera belle.

Après avoir prit un bain parfumé que Bertylle m'avait préparée, je m'étais installée devant la table de toilette et j'avais laissée faire les filles, tout se passait dans la gaieté et la bonne humeur, je tachais de donner le change derrière les plaisanterie et les rires, mais plus le temps passé, plus j'étais fébrile, un nœud me tordait l'estomac et mes mains tremblait légèrement

Enfin je fus prête, il ne me restait qu'à mettre ma robe, aidée de mes amies je passais la robe qui retomba telle une corolle, je m'approchais de la psyché et me regardais, je n'arrivais pas à croire que c'était moi cette mariée, dans quelques heures mon rêve deviendrait réalité et je lui appartiendrais à tout jamais.

Mes amies étaient partis se préparer à leur tour, tandis que je tournais lentement sur moi meme quand un reniflement me fit me retourner

Et ben alors ma Bertylle pourquoi pleures tu?

Vous êtes si belle damoiselle! Je suis si heureuse pour vous

J'allais vers elle et la prit dans mes bras

Je te remercie ma fidèle Bertylle, à présent va voir si le carrosse est arrivé veux tu? et tu remonteras aussi mon bouquet de fleur s'il te plait.

j'y cours damoiselle

Sixtine_cypher a écrit:: Il était temps d'aider la jeune future épousée à s'apprêter, elle toqua à la porte, Gwenn était là, elle avait dévoilé la robe., en riant et plaisantant de l'état de nerf de la future Duchesse.

Gwenn vous avez fait un travail formidable, cette robe est magnifique ! Aelys tu me fais penser à un ange !

Après l'avoir coiffée, parée de discrets bijoux elles la laissèrent au bons soins de Bertylle, il était temps d'aller se vêtir pour la cérémonie.

Une fois prête elle se rendit dans la vaste entrée, attendant que la mariée fasse son apparition.

Déjà l'on entendait les cloches de la cathédrale sonner à toute volée, il était grand temps de se mettre en route

Gwenn_de_lescart a écrit:: Tout au long des préparatifs, Gwenn avait tenté, de par sa nature malicieuse, de détendre sa belle-soeur dont elle sentait la tension monter au fur et à mesure que le temps passait. Plaisanteries, taquineries et autres espiègleries allaient bon train. Le sérieux était banni en ce jour de fête !

Le passage de la robe fut l'heure du verdict pour la couturière qu'elle était. Avait-elle vu juste ? Ne s'était-elle pas trompée dans ses mesures, piqué un mauvais pli ? Mais non. Le résultat était magnifique. Elle s'adaptait harmonieusement au corps de la future mariée, mettant en valeur ses formes, dans un foisonnement de voiles et de soie brillante.

Elle rougit et bredouilla quelques remerciements sous les compliments de Sixtine. Mais le temps n'était plus à la bagatelle. Gwenn n'était pas encore elle-même apprêtée, et l'heure tournait. Elle embrassa affectueusement Aelys, gonflée de fierté pour sa petite sœur de cœur.

Tu es magnifique ! Une vraie princesse !

La gorge trop nouée pour en dire davantage, elle se sauva et prit la direction de la maison d'Aelys, où elle y avait laissée ses affaires. Elle avait préféré le calme et le confort intime de la chambre qu'elle lui avait allouée pour faire ses propres préparatifs. Phé devait très certainement déjà l'y attendre sur le pied de guerre.

Aelys_rossal a écrit:: Bertylle arriva tenant le bouquet à la main, je restais sans voix il était magnifique exactement comme je l’avais dessiné le tenant entre mes mains, je me regardais dans la psyché, l’ensemble était parfait, Gwenn avait fait du très beau travail.

Damoiselle le carrosse vous attend !

Alors allons y Bertylle, je me sens tellement fébrile, j’espère que tout se passera bien, je voudrais que cette journée soit inoubliable.

Et c’est le cas damoiselle !cessez de vous angoisser et pensez juste à être heureuse et à profiter de cette journée qui vous appartient.

Tu as raison allons-y, Sixtine doit nous attendre avec impatience.

Je descendis lentement le large escalier à mi-chemin je m’arrêtais pour regarder Sixtine qui me faisait face et l’admirais

Tu es magnifique ma douce amie ! Cette robe te va à ravir, si avec ça tu ne trouves pas un gentil messire !

Je finis de descendre les marches et soudain je les vis, ils étaient tous là, tout ce que le château pouvait compter de domesticité m’attendais, à part Henriot je ne connaissais encore personne.

Je leur fis un large sourire, Henriot fit un pas vers moi

Damoiselle ! Au nom de tous ici, permettez-moi de vous souhaiter tous nos vœux de bonheur, lorsque vous reviendrez nous serons heureux d’accueillir notre duchesse et honorer de la servir.

J’étais émue, je ravalais difficilement ma salive, ce n’était pas le moment de pleurer.

Je vous remercie tous ! Vos paroles me touchent beaucoup et je serai heureuse d’être servie par chacun de vous.

La plus âgée d’entre eux s’approcha à son tour et fit une légère génuflexion

Damoiselle, vous êtes ravissante dans votre robe de mariée, vous ressemblez à une princesse et nous vous souhaitons une très belle cérémonie.

Je vous remercie tous du fond du cœur, Henriot je compte sur vous pour que tout soit prêt dans la salle du banquet.

N’ayez crainte damoiselle, je veille à tout

Merci Henriot je sais pouvoir compter sur vous, sa grâce ne tarit pas d’éloge à votre sujet.

Sa grâce est trop bonne et m’honore.

Je lui souris et me tournais vers Sixtine, il est temps d’y aller mon amie

Aussitôt Henriot ouvrit la porte et nous accompagna jusqu’au carrosse.

Avant de monter je me tournais vers Bertylle

A plus tard ma brave Bertylle!

A plus tard damoiselle, je vais courir jusqu’à l’église pour vous voir sortir au bras de votre époux.

Je lui souris et tendis la main à Henriot qui m’aida à monter dans le carrosse puis il en fit de même pour Sixtine.

Un fois la porte fermée, il donna un coup sur le carrosse qui aussitôt s’ébranla et nous sortîmes du domaine en direction de l’église.

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

Aelys_rossal a écrit:: [Retour de l'Eglise]

Notre cortège avait traversé la ville sous les regards admiratifs et parfois envieux des badauds, et nous avions précédé de peu les invités pour les accueillir dans la salle du banquet.

Nous entendions déjà le fracas des carrosses, le hennissement des chevaux, les rires et les exclamations joyeuses des invités qui montaient jusqu'aux fenêtres depuis la cour de Sassenage. Henriot était déjà en haut des marches de l'entrée pour accueillir tout ce petit monde, les guidant à travers le hall en direction de la salle.

Alors que le claquement des pas, le bruissement des robes et les murmures des conversations se faisaient plus précis, je regardais autour de moi avec inquiétude, faisant un dernier tour d'inspection visuel avec angoisse, dans la crainte d'un oubli aussi impromptu que crucial.

L'armée de valets et de servantes menées de main de maitre par Henriot avait fait des merveilles encore une fois : La salle était entièrement parée de rouge et de blanc. Les murs étaient couverts de tapisseries et de bannières aux couleurs de Sassenage. Des brassées entières de fleurs avaient été répandues un peu partout, tant éparpillées au sol que mises en bouquet sur les tables.

Les couverts avaient été alignés avec soin sur les tables disposées en U, et je soupçonnais Henriot d'avoir demandé à ce que ce soit aligné au cordeau. Sur chaque table, des petits chevalets étaient disposés, soutenant le menu qui serait proposé pour ce banquet.

A un bout de la salle, l'orchestre de ménestrels faisaient les derniers accords de leurs instruments. Le long des murs, proche du couloir menant aux cuisines, les valets de table attendaient les ordres.

Non, rien ne semblait manquer. Je regardai Sam d'un œil tendre, rassurée, et attendit que les portes s'ouvrent.

--Alidacheep. a écrit:: Ali attend que les portes s'ouvrent, même si elle veut les pousser cela ne sera pas raisonnable de s'incruster.

Elle a préparé un cadeau pour les beaux mariés, ou même plusieurs, mais cela est une surprise pour chacun d'eux, un pour Sam, un pour Aelys, et un pour le couple.

Dans l' attente, elle stressa vérifiant à chaque instant si elle n'a rien oublié, cadeaux 1 . 2 .3. oui le compte y est.

Samuel_rossal a écrit:: [Après la cérémonie...]

Ils étaient sortis, non sans peine, de la cathédrale. La foule qui s'était amassée à l'extérieur ne leur avait pas facilité le passage. Ce n'était pas tant que tout le monde voulait les admirer, ce serait un peu... Mais certains espéraient quelques largesses... Il avait fait préparer à Henriot la veille de quoi distribuer à l'entrée de sa demeure et l'annonce serait faite une fois qu'ils se seraient éloignés afin d'éviter la cohue...

Le carrosse était parti tant bien que mal et avait ouvert la voie jusqu'au lieu de la réception... Henriot avait bien travaillé mais il soupçonnait sa douce épouse d'avoir donné quelques ordres de décoration ou alors son régisseur lui cachait quelques talents pour ça.

Après avoir jeté un oeil à la salle, et au reste d'ailleurs, sa ravissante épouse revint prendre place à mes côtés. Nos invités arrivaient et il était temps de faire ouvrir la Grande Salle...

Ouvrez les portes ! fit-il en s'avançant avec à son bras la plus jolie mariée de tous les temps...

--_Walik_ a écrit:: Walik avait l'art et la manière de s'introduire partout, or, cette fois-ci, il n'en fit rien et se planta silencieusement, droit et stoïque, derrière Alida. Elle était surement la seule personne à pouvoir repérer sa présence en quelques minutes, mais des minutes, c'est bien encore trop lorsque l'on côtoie la Mort.

Enfin, mise à part l'art de la discrétion, de l'infiltration, Walik avait tout un autre art: celui de l'indiscrétion.

C'est simple à comprendre pourtant:
-La Grande Faucheuse: discrète.
-Walik: pas discret du tout.

C'est tout naturellement, donc, que malgré le fait qu'il soit resté quelques minutes immobile derrière Alida, Walik se mit à mimer une araignée dans ses cheveux, du bout de ses doigts, dans un petit rire.

Ah, les portes s'ouvrirent enfin, ils allaient pouvoir manger et boire. Oui, manger et boire, car c'était une seconde nature chez Walik, il suffisait de voir comment ses animaux se nomment pour le comprendre.

Sixtine_cypher a écrit:: Sixte avait discrètement rejoint sa chambre mise à disposition par ses amis, après s'être changée avec l'aide de sa Justine, elle rejoignit la salle de réception

La salle était magnifiquement préparée, des cascades de fleurs disposées ça et là rehaussait la splendeur du lieu.

Après avoir été annoncée par l'aboyeur, elle alla s'incliner devant le Duc et la toute nouvelle Duchesse de Sassenage, dont le bonheur faisait plaisir à voir

Alidacheep. a écrit:: du mieux quelle peut, elle espère être convenable comme pour un mariage, peut être elle croisera un homme charmant, qu'elle pourra parler, se faire courtiser…. c'est vrai que depuis qu'elle est retour depuis les nonnes, pas beaucoup d'homme présent à Embrun, alors peut être que ce lieu sera un moment de joie et de rencontre.

Elle avait encore sa tenue qu'elle avait mis lors de la cérémonie.la tenue de couleur mauve avec un mantel,

Dans l'attente qu'on ouvre les portes .. quelque chose bougé dans la chevelure.. mais qu'est-ce… elle met sa main doucement pour ne pas être décoiffée et sent une grosse chose… " mais qu'est-ce" après une courte réflexion elle lève cette chose de ses cheveux, un peut lourd sentant que c'est une main … se retourne…

Cela t'amuses de me décoiffer Walik !

A cet instant les portes s'ouvre, une dame étant rentrée, n'a pu voir son visage à cause de Walik, toujours de sa faute lui…

Elle le regarde méchamment tout en taquinant comme toujours quand-t-il l'embête, un jour elle se vengera de ces bêtises et il ne va pas s'en rendre compte.

Tiens comme tu es là tu vas pouvoir m'aider à porter ceux grand cadeaux pour les amoureux, et tu n'as pas le droit de dire que c'est de toi, sinon … je demande au faucheur de me mettre sur la liste !

Elle rit puis imite le MOUAHAHAH de Walik pour … l'embéter

Aller dépêches-toi petit vieillard.

Elle prend les 2 plus petits cadeaux et laisse le grand à Walik, le connaissant il fera bien ce petit effort d'apporter ce cadeau.

Ils arrivent derrière la dame qui venait de rentrer …

_Walik_ a écrit:: Walik observe Alida se moquer de lui gentiment, puis saisit le grand cadeau. Alors que celle-ci s'éloigne, il lui lance, à sa suite:

-"Bien-sûr que je vais le porter. Que tu sois la meilleure bûcheronne du Royaume ou la plus fidèle des servantes, je ne te laisserais pas porter seule, un si gros cadeau."

Et il se mit à rire à son tour:

-"MOUAHAHAHAHA!"

Il adorait embêter Alida, c'était un de ses passe-temps favoris, après ses autres passe-temps lugubres. Arrivé dans les lieux, il aperçut les deux jeunes mariés, ainsi que Sixtine resplendissante dans sa merveilleuse robe. Il sourit en observant le décors de la salle: tout était parfait!

Alidacheep. a écrit:: en entendant ce qu'il a dit, il vaut mieux s'arrêter sinon cela risquerait de ne pas s'en finir …

elle salua la dame, qui est Sixtine, elle ne l'avait pas reconnue du tout, une si jolie robe, une belle coiffure … bien plus belle qu'Ali, dans sa … "modeste" tenue.

Oh Sixtine, bonjour, je vous trouve très belle dans cette robe, je ne vous ai point reconnue, elle vous va à ravir, que j'aimerais bien en avoir une un jour comme cela..

Elle se stoppe, se sent très gênée, peut être parce qu'elle n'est pas noble qu'elle ne peut avoir une belle robe….

Elle demande à Walik, si c'est bien là bas ou on devrait poser les cadeaux.

Tu penses que c'est là bas qu'on doit les poser?

Aelys_rossal a écrit:

J’étais heureuse de voir que tout avait été fait comme je l’avais demandé, encore quelques détails à régler avant d’ouvrir les portes. Je m’approchais d’Henriot.

Merci Henriot tout est parfait! Vous n’avez pas oublié de prévenir aux cuisines afin qu’on distribue de quoi manger au peuple qui attend devant les grilles ?
Mais seulement quand tout le monde sera rentré bien sûr.

N’ayez crainte votre grâce ! Tout sera fait comme vous l’avez ordonné.

Merci Henriot!

En voyant bertylle arrivait je m’approchais d’elle

Bertylle! Je veux que tu t’occupes de tous les enfants, fait toi aider bien sûr, je veux que tous les parents puissent profiter de la fête l’esprit tranquille.

Oui damoi… Oh pardon ! Oui votre grâce, la salle pour les enfants est prête, ils pourront manger, ensuite nous leur ferons faire une promenade dans le jardin, nous irons coucher les plus petits et les grands pourront jouer.

Merci Bertylle et surtout pas de « votre grâce », je n’ai pas changé c’est toujours moi, ta jeune maitresse comme tu aimes à m’appeler, alors madame m’ira très bien venant de toi.

J’étais sûre de n’avoir rien oublié, tranquille et sachant Henriot prêt à intervenir s’il y avait un souci, je me plaçais près de mon époux pour accueillir nos invités, je lui souris heureuse.

Citation :: Ouvrez les portes !

La première personne que je vis entrer le plus discrètement possible ce fut Sixtine, qui me fit un petit signe discret pour m’indiquer qu’elle montait dans ses appartements, vinrent ensuite Walik et Alida, ils semblaient inséparables ces deux-là.

Walik portait un énorme paquet, je vis Henriot faire un signe à un valet qui alla aussitôt au-devant de lui pour prendre le paquet et le déposer sur la table préparée à cet effet.

Nous les saluâmes leur souhaitant une bonne soirée, un valet vint les conduire dans la salle de réception, ou la place de chacun était inscrite sur une petite carte à leur nom.

Le ballet des carrosses se succédait et les valets faisaient impeccablement leur travail, se précipitant aussitôt qu’un carrosse s’arrêtait pour ouvrir la portière et aider les dames à descendre .

Je poussais un soupir de satisfaction et murmurais à mon époux

C’est une perle notre Henriot.

Sixtine_cypher a écrit:: Elle cherchait sa place lorsque qu'elle entendit une voix familière l'interpeler

Oh Sixtine, bonjour, je vous trouve très belle dans cette robe, je ne vous ai point reconnue, elle vous va à ravir, que j'aimerais bien en avoir une un jour comme cela..

Elle se retourna et sourit en voyant Ali, elle aimait bien cette jeune femme elle avait eu l'occasion de la rencontrer à chuzelles , elle était amusante, spontanée,

Bonjour Ali, merci c'est très gentil, mais vous êtes ravissante !

vous pouvez en avoir de semblables, si vous le désirez je peux vous donner quelques adresses. mais la robe que je porte est spéciale, je ne l'ai mise qu'une ou deux fois,

La jeune femme baissa la voix

Figurez vous que lorsque j'étais à Paris, j'étais très jeune à l'époque, j'ai été invitée à une vente aux enchères dans une prestigieuse maison de couture... et je n'ai pu résister et ai cassé mon bas de laine, c'est là que j'ai compris que je ne pourrais plus résister à l'appel d'une belle toilette.

et pourtant je débutais dans la vie active, je n'étais pas noble, ni riche

--phebus_de_lescart a écrit:: La cérémonie religieuse était terminée, les carrosses arrivaient un par un devant le parvis de l'église, les mariés étaient déjà partis, acclamés par la foule, il faut dire qu'on avait surement jamais vu mariée aussi belle et radieuse.

Après bien des difficultés pour traverser la place du village jusqu'à l'Hôtel de Sassenage, le carrosse entra enfin dans la cour et s’arrêta au pied des marches, un valet vint ouvrir la portière, je descendis afin d'aider mon épouse à descendre, et c'est ensemble en tenant notre fille par la main, tandis que son frère marchait devant l'air très sérieux que nous arrivâmes dans le hall où nous attendaient les mariés, j'embrassais tendrement ma petite sœur.

Très belle cérémonie! Je vous souhaite tout le bonheur du monde, que jamais rien ne vienne vous séparer.

Après avoir caressé tendrement la joue de ma sœur, je me reculais pour laisser Gwenn embrasser à son tour les mariés, tandis qu'Héloïse qui tenait toujours la main de sa maman restait en admiration devant sa tante.

Je serrais la main de Sam

Félicitation, mon cher beau frère! soyez heureux

--Gwenn. a écrit:: Ce fut une longue procession de carrosses qui s'engageait dans les rues encombrées de la ville. La foule curieuse se massait, au risque de se jeter sous les sabots des chevaux, pour tenter d'apercevoir les mariés et rêver sur les tenues des invités. Malgré que l'Hotel de Sassenage ne soit pas très éloigné de l'église, le trajet fut long, et parut presque interminable aux yeux de Gwenn et Yvain et Héloise commençaient à se chamailler sous les yeux mi-amusés, mi-réprobateurs de leur père.

C'est donc avec soulagement qu'elle sentit enfin la voiture s'immobiliser dans la cour de l'Hotel. Ils descendirent l'un après l'autre et Yvain reprit sa place devant eux, tel un ambassadeur, tandis qu'Héloise vint glisser sa petite main dans la sienne.

Ils s'engagèrent dans le grand hall, et Gwenn ne put s'empêcher, comme lors de sa première venue, de regarder autour d'elle pour en admirer le faste. Et plus elle regardait, plus elle surprenait des détails qui lui avaient échappé la première fois. La décoration était de bon goût, sobre et magnifique à la fois. A l'image du maître... Non, des maîtres des lieux, à présent !

Ils arrivèrent dans la salle du banquet. Aelys était là, au bras de Sam, rayonnante de bonheur. Elle irradiait tel un soleil, laissant éclater par ses yeux brillants et son large sourire sa joie et son bien-être.

Elle laissa son époux les saluer en premier puis, quand il s'effaça pour lui laisser la place, elle prit la parole à son tour.

Aelys, Sam, toutes mes félicitations ! Ce mariage est le plus beau qu'il ne m'ait jamais été donné de voir.

Elle laissa un court instant sa phrase en suspens, avant de renchérir sur le ton de la plaisanterie, sourire en coin et un éclat taquin dans le regard :

Mis à part le notre, évidemment !

La petite main d'Héloise quittant la sienne l'interrompit dans sa verve. La petite fille était là, en extase devant sa tante, les yeux écarquillés d'admiration, maintenant qu'elle avait toute latitude pour la regarder en détail.

Comme t'es belle tant'Aelys ! T'es une princesse maint'nant ? Comme dans les z'histoires que tu nous lis ?

Aelys_rossal a écrit:

Les carrosses entraient dans la cour les uns après les autres, j’entendais monter les rires des adultes et les cris joyeux des enfants. L’aboyeur annonçait chaque convive, qui, après nous avoir félicités s’avançait vers la salle du banquet où un valet les conduisait à leur place.

J’entendis annoncer l’arrivée de mon frère et de sa famille, j’avais hâte de les étreindre. Mon frère m’embrassa et me serra dans ses bras, je fermais les yeux, heureuse de sentir son contact. Il avait été jusqu’à présent le seul homme de ma vie, je savais pouvoir toujours compter sur lui et sur son amour indéfectible, moi qui savais par quelles épreuves il était passé depuis sa plus tendre enfance. J’étais fière de l’homme qu’il était devenu, un homme honnête et droit, un époux et un père merveilleux.

Je me détachais de lui et lui sourit avec tendresse.

Citation :: Très belle cérémonie! Je vous souhaite tout le bonheur du monde, que jamais rien ne vienne vous séparer.

Merci Phébus ! Tes vœux sincères me vont droit au cœur et nous ferons tout pour que notre amour perdure à l’image du vôtre.

Je le laissais saluer Sam tandis que j’embrasser mon neveu en le complimentant sur sa tenue, il était devenu un grand garçon, je souris à ma chère Gwenn qui s’avançait vers moi, elle était pour moi plus une sœur qu’une belle sœur.

Citation :: Aelys, Sam, toutes mes félicitations ! Ce mariage est le plus beau qu'il ne m'ait jamais été donné de voir.
Mis à part le notre, évidemment !

Je l’embrassais en la serrant contre moi et sur le même ton espiègle je m’exclamais :

Le tiens ! Voyons laisse-moi réfléchir, curieux je ne m’en souviens pas !

Soudain je sentis un tiraillement au niveau de ma robe, baissant les yeux je vis mon adorable petite nièce qui me regardait les yeux écarquillés.

Citation :: Comme t'es belle tant'Aelys ! T'es une princesse maint'nant ? Comme dans les z'histoires que tu nous lis ?

Je m’agenouillais et posais un baiser sur sa joue toute douce.

Merci mon petit ange ! Mais tu es encore plus belle et s’il y a une princesse ici c’est toi ! Je suis aussi très fière de toi, tu as porté les alliances comme une grande avec beaucoup de dignité et pour cela je vais te faire un cadeau, un cadeau très spécial.

Je fis un petit signe à Bertylle qui était dans la confidence, elle arriva un instant plus tard en portant le présent.

Je souris à Héloise qui ouvrait grand les yeux en voyant ce que j’avais à la main

tiens il est pour toi en souvenir de cette belle journée, la plus belle de ma vie.

Je lui tendis mon bouquet de mariée.
Mariage d'une colombe et d'un cerf 4zp6

--Gwenn. a écrit:: Gwenn regardait la scène avec émotion mêlée de fierté. Et quand elle vit le présent que fit Aelys à sa fille, elle en fut encore plus ému et son coeur se gonfla de tendresse. Le cri de ravissement d'Héloise fut à la hauteur du présent et fit sursauter plusieurs convives alentours.

Ohhhhhhhhhhh ! tante Aelys !

Les mots manquaient à la petite fille, qui se tourna vers sa mère :

Maman maman t'as vu ! J'ai le bouquet d'la mariéééééééééée !

Et sans attendre de réponse, Héloise se tourna vers sa tante et lui sauta au cou pour lui faire un énorme calin comme elle seule avait le secret, puis lui fit un gros bisou claquant et humide sur la joue.

merci merci merci merciiiiiiiiiiiiiii !

_Walik_ a écrit:

Alidacheep. a écrit:: Tu penses que c'est là bas qu'on doit les poser?

Walik regardait Alida et allait répondre qu'il n'en savait rien lorsqu'un valet vint les soulager des cadeaux:

-"Merci beaucoup mon ami."

Puis Sixtine se mit à parler avec Alida. Walik sourit, et lorsque Aelys leurs indiqua le chemin, il la suivit. Ne vous demandez pas où Walik se dirigea en premier, la réponse est évidente: l'alcool et les mises en bouche. Il était conscient que l'on risquait encore de lui faire remarquer qu'il avait bon appétit ou qu'il finirait par devenir énorme, à cette idée, il sourit.

Walik avait laissé Alida papoter, quand la famille Lescart arriva, il alla les saluer, ne connaissant pas tout le monde:

-"Bonjour à vous! Comment allez-vous? Je me présente, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Walik du Cimetière de Embrun, Seigneur de Chavannes et de Fontaine, dict "La Grande Faucheuse", Croque-mort Ducal."

Il avança une main amicale vers l'homme qui semblait s'appeler Phebus, s'il avait bien entendu. Walik avait le sourire, seule chose que l'on distinguait de son visage caché par le capuchon de sa toge noire. Dans sa tête, il s'en passait des choses, il ignorait comment réellement se présenter, si un simple Walik du Cimetière de Embrun suffisait ou un simple Walik, ou s'il fallait automatiquement ajouté ses nouveaux titres. Pour lui qui était simple et hors conventions, ces pensées le faisait rire. Il lança un regard furtif vers Alida et Sixtine puis posa ses yeux sur l'enfant qui était heureuse d'avoir reçu le bouquet.

Pour la Grande Faucheuse, il s'étonnait toujours de voir qu'il appréciait autant la vie et l'amour.

Alidacheep. a écrit:

De loin Aelys et Sam font signe, elle leur rend le signe avec les paquets dans les mains, elle espère les voir bien plus près plus tard, elle se laisse diriger par un valet ainsi que le Henriot, prendre le parquet des mains de Walik.

Quoi! elle qui profite de la présence de Walik pour les cadeaux il se fait bien aider ... quel chanceux celui là ... toujours à lui mais pas elle

Elle le regarde dire

_Walik_ a écrit:: -"Merci beaucoup mon ami."

Sixtine vient vers elle, en l'écoutant, parlant sur sa robe, elle prend note de l'endroit où elle l'a eu, peut être elle s'y rendra un jour surement.

Elle se dirige dans la salle de réception avec Sixtine ou un beau buffet se présente, une table ou quelques cadeaux y sont déposés d'où les siens.

Gwenn, et Phébus, de bon vieux amis aussi, cela fait longtemps qu'elle ne l'est à pas revue. A croire que ce mariage va réunir de bonnes vielles connaissances, et cela se voyait sur le visage d'Ali

Elle laisse Walik se présenter, envie de rire, mais dommage qu'il n'a pas tout dit... Elle attend qu'il en est fini pour leurs faire la bise.

Gwenn, Phébus, il y a longtemps que je vous ai vue, comment allez-vous? elle leur fait la bise comme il y a bien longtemps.

Qu'elle adorable petite princesse que vous avez, elle est magnifique

Admin Messages : 210 Date d'inscription : 02/03/2015

--Gwenn. a écrit:

Alidacheep. a écrit:: Gwenn, Phébus, il y a longtemps que je vous ai vue, comment allez-vous? elle leur fait la bise comme il y a bien longtemps.

Qu'elle adorable petite princesse que vous avez, elle est magnifique

Se retournant, Gwenn vit que la voix provenait d'Alida. Elle lui sourit. Une vieille... Très vieille connaissance. Perdue de vue depuis un temps infini. Mais de celles que l'on oublie jamais. Loin des yeux, mais jamais loin de la mémoire. Et pourtant, que de chemin parcouru depuis ! Cela lui semblait des siècles.

Alida ! Oh, des années oui ! Comme tu peux le voir, nous allons toujours aussi bien.

Elle sourit.

Oh oui, c'est notre petite chérie d'amour, elle nous comble de bonheur et de fierté autant que son frère.

Alidacheep. a écrit:

Gwenn a écrit:: Alida ! Oh, des années oui ! Comme tu peux le voir, nous allons toujours aussi bien.

Elle sourit.

Oh oui, c'est notre petite chérie d'amour, elle nous comble de bonheur et de fierté autant que son frère.

Je suis contente pour vous, vous avez une belle famille, il faudra peut être un jour que je passe chez vous, vous faire un grand coucou.

Elle se dirige ensuite au buffet pour prendre à boire.

Elle attend la suite que les mariés auraient prévu.

Jackouille a écrit:: Aprés avoir cherché et tourner virer un bon moment , Jack trouva enfin le lieu des réjouissances pour la réception du mariage de ses amis .

Décoration parfaite pour un tel évenement , le personnel avait mis les petits plats dans les grands et Jack resta admiratif , il se retourna et regarda sa suite de serviteurs tentant de rentrer avec le cadeau .

Puis joignant le geste à la parole , il prit parole

Heu les nains!!!! , la porte est grande comme cela et le cadeau il est plus large de cela , tu as déja essayer de rentrer 140 mineurs dans une mine de 66 places , bein la c ' est pareil ça rentrera po !!!

En plus qu ' est j ' avais dis , vite fait bien fait et la plus d ' une heure de retard , bravo , une jolie troupe de boulanes que je me traînes heureusement que j ' ai po décider d ' acheter une nave comme cadeau , dans 15 jours on serait encore en bas de la pente d ' accés au domaine

Il écouta les diverses réponses et reprit

Ah l ' équipe de soulards que vous faites et être portugalien est po une excuse pour ton cousin , Bernardo !!!

Il dit quoi ? , un cadeau plus petit est ma main sur le coin de son oreille il la veux plus petite aussi !!!

Jack se décida de reprendre les choses en mains .

Bon Bernardo , tu me gares le carrosse la devant pour que le Sam et Aelys , il le voit en sortant !!!

Un traineau et il neige po , bein je sais c ' est un carrosse-traineau , pour l ' hiver on verra qu ' eux dedans , aprés il se marie en mai c ' est po ma faute hein !!!

Et ils sont que deux et il fait 10 places et donc , bein ils feront 8 marmots pour remplir le truc , tu sais po combien ça coûtes , un engin pareil !!!

Le cadeau en place , Jack le regarda tout en voyant le domestique de Sassenage arriver .

Bonjour Enrico , le reste va po tarder à arriver va falloir prévoir de la place , 7 chiens de carrosse- traineaux c ' est po rien !!!

Quelques instants plus tard la suite arriva

Ah justement les voila , les 7 nains chiens , rassurez vous vous Ermano , ça grandis c est comme les mioches , sauf que ça parles po pour dire toujours "pourquoi" !!!

Ca va vous occuper vous et le personnel ce genre de bestiau , mais ça mords po il parait , mais ça manges pour deux par contre , suis sur qu ' Aelys va fondre en les voyants

Ceci dit , il donna des consignes pour qu ' on s ' occupes des chiens

Bon c ' est pas tout cela , on bois quoi , fais soif ici !!!

Shania. a écrit:: Shania arrive avec son fils dans les bras ne voulant pas déranger Jack qui avais l'air bien occupé avec son gros cadeau .

elle le regarde faire en souriant elle aime cette petite touche de folie même dans ses cadeaux que l on pourrais dire qu ils son démesuré

elle s'approche doucement et passe sa main sur son dos et lui dis

c'est vraiment une belle idée que tu as eu, mais huit enfants tu est sur qu ils irons jusque la ? même nous on en auras pas autant.

Elle se met à rire et l'embrasse tendrement puis elle pose sur le traîneau un bouquet de fleurs qu'elle a été cherché tôt ce matin .

voila un petit cadeau en plus

--Gwenn. a écrit:: La distribution des cadeaux faisant son plein. Gwenn fit un signe discret à Henriot qui lui même relaya le message à un des valets présent, qui s'en fut vers une destination pour le moment inconnue. Tout avait été convenu d'avance avec eux, ils n'avaient attendu que ce signal.

Gwenn attira l'attention de sa belle-soeur en la prenant doucement par la main.

Nous aussi nous avons un présent pour toi. Tu ne pensais pas que nous viendrions le jour de tes épousailles les mains vides j'espère ! Sauf qu'il ne rentre pas dans la salle, il va te falloir sortir pour le voir !

L'attirant hors de la salle du banquet, elle la fit traverser le grand hall avant d'arriver en haut des marches de l'entrée. Là, on pouvait entendre le claquement sonore de sabots ferrés contre le pavé, puis le hennissement claironnant d'un cheval. Plusieurs secondes s'écoulèrent, ou le stress de la jeune femme monta. Elle espérait vraiment que son cadeau serait à la hauteur et qu'elle plairait à la jeune mariée. Mais surtout, elle espérait que les valets avaient fait de leur mieux pour le mettre en valeur.

Enfin, le cadeau arriva, franchissant l'arche de la cour. Piaffant, la tête haute, les oreilles noblement dressées, l'encolure courbée, et la queue en panache. Les muscles saillaient sous la peau qui brillait de mille feux. Le valet d'écurie arrêta le cheval au milieu de la cour, et celui-ci se mit à hennir une nouvelle fois, observant son environnement d'un air curieux, les naseaux frémissants.

Aelys, je te présente Alegria. C'est une jument haquenée Andalouse, venue tout droit d'Espagne ! Elle est douce et gentille sous ses airs de fo-folle. J'espère que vous vous entendrez bien toutes les deux !

Aelys_rossal a écrit:

[Quelques heures plus tard]

Nos invités étaient arrivés les uns après les autres et s’installaient dans la salle du banquet, aidé en cela par les valets qui les conduisaient à leur place, nous étions très heureux de les accueillir.

Chacun déposé un cadeau sur la table prévue à cet effet, deux cadeaux n’avaient pu trouver place sur la table et pour cause, le premier venait de notre ami Jack, 7 ravissants chiots et un traineau, j’avais poussé un cri de ravissement en les découvrant, ils étaient adorables, quant au traineau, je n’avais pas pu m’empêcher d’éclater de rire en le voyant, il n’y avait que Jack pour avoir une idée pareille, nous l’avions remercié chaleureusement, ainsi que shania pour son bouquet de fleurs.

Le Second nous fut offert par mon frère et ma belle-sœur, ils nous avaient fait sortir sur le perron pour admirer la splendide jument qu’ils nous offraient, je les avais embrassé tous deux, ils nous avaient vraiment gâtés et j’avais hâte de pouvoir la monter.
Après la distribution des cadeaux, et les remerciements à chacun de nos amis, la fête avait battu son plein une bonne partie de la nuit. Tout le monde semblait s'être amusé, riant, dansant, buvant et mangeant à satiété.

Les enfants sous la garde de Bertylle n'avaient pas été les derniers à s'amuser, se pourchassant, courant, rampant sous les tables dans des parties de cache-cache endiablées, depuis la salle nous les entendions rires, ce qui me réjouissait.
Puis il y avait eu le moment d’émotion, quand Sixtine se leva pour lire son discours.

Spoiler:

J’étais émue aux larmes et je m’étais levée pour l’embrasser et la remercier, mais nous n’en avions pas fini avec les émotions, ce fut au tour de mon frère de se lever et de nous lire son discours.

Spoiler:

Quand il eut terminé il s’avança vers nous il était ému, sans rien dire il me serra dans ses bras, nous restâmes ainsi quelques instants, me détachant enfin de lui, j’allais embrasser ma belle-sœur et la remerciais aussi pour ces belles paroles.

J’attendis quelques instants que les images douloureuses de notre enfance se dissipent, avant de prendre à mon tour la parole et tentais de lire ce que j’avais préparé à l’intention de tous.

Spoiler:

Le reste de la soirée se passa en danse et jeux, jusqu’aux premières lueurs de l’aube et…
Peu à peu, les convives s'étaient retirées, le visage fatigué mais radieux d'une aussi belle réception. A présent, j’étais seule avec mon époux et mes proches, dans la salle étrangement vide et silencieuse.

Les troubadours rangeaient leurs instruments, les domestiques étaient déjà à pieds d'œuvre pour débarrasser les tables, ranger et nettoyer la salle.
Je regardais autour de moi, les yeux encore plein d'images de la journée que je venais de vivre. Pour sûr que c'était une réception digne d'un conte de fée, que je garderais en mémoire pour les siècles des siècles.

Je souris à mon époux et glissait ma main dans la sienne, la plus belle page de ma vie venait de commencer.

Alidacheep a écrit:

Aux moment de l'ouverture des cadeaux Aelys et Sam ouvrent ceux d'Ali.

Il y avait 3 cadeaux, un pour Aelys, un pour Sam, et un pour eux.

Celui d'Aelys:

Spoiler:

Celui de Sam:

Spoiler:

Et pour eux:

Spoiler:

Samuel_rossal a écrit:: [Avant le banquet...]

Et les portes s'étaient ouvertes laissant entrer les invités les uns après les autres. Sourit à son épouse...

Oui c'est une perle en effet mais voici nos amis qui arrivent ajouta-t-il...

Et le défilé commença. ILs remercièrent leurs amis d'avoir été là. Ah sa désormais seule vassale... Quelques mots échangés et un autre couple vient se placer devant eux. Alida et Walik arrivèrent à leur tour, les bras un peu chargés...

Ce fut enfin le tour de son désormais beau-frère.

Très belle cérémonie! Je vous souhaite tout le bonheur du monde, que jamais rien ne vienne vous séparer. Félicitation, mon cher beau frère! soyez heureux

Merci à toi Phébus. Je prendrais soin d'elle tu peux compter sur moi, tu le sais.

Souriant à Gwenn, il la laissa discuter avec Aelys et la petite damoiselle d'honneur... Le défilé continua durant de longues minutes puis un brouhaha se fit entendre à l'extérieur mais il y avait toujours quelqu'un pour se présenter devant eux. Quand enfin tous furent passé devant eux il jeta un oeil et manqua d'éclater de rire... Ils entrèrent à leur tour dans la salle sous les applaudissements de leurs amis et invités...

[Pendant...]

Les plats se succédèrent, les boissons, les rires, les chansons de certains... Puis vint le temps des discours... Ce fut Sixte qui la première lança le mouvement... Jamais il n'avait regretté son choix de la prendre pour vassale, de lui confier une des terres les plus riches de Sassenage. Il lui sourit tendrement pendant qu'Aelys l'embrassait...

Ah mais... Encore un... Bon l'on était parti pour une danse folle apparemment... Au tour de Phébus. Puis lorsque celui-ci eut fini il s'approcha de son beau-frère et tout en lui serrant la main, il lui dit simplement : Merci.

Il reprit donc sa place mais vit que son épouse restait debout. Qu'avait-elle donc ? Ah mais... Il s'installa donc et l'écouta attentivement... Puis voyant qu'elle avait fini au bout de ce qui lui parut être une éternité, il se leva lentement et s'approcha pour l'embrasser sous les acclamations de la salle.

Se tourna enfin à son tour il but quelques gorgées et prit à son tour la parole...

[hrp]Mes amis ! A vous tous merci d'être venu, d'avoir pu être les témoins de notre bonheur. Aelys l'a dit nous sommes heureux de vous avoir eu auprès de nous en ce magnifique jour qui rstera gravé dans nos coeurs.

Ma famille ! se tourna vers Phebus et Gwenn Oui ma famille car vous l'êtes désormais. Ou que vous soyez, quel que soit le problème vous pourrez compter sur l'aide que nos gens, nos vassaux ou moi-même pourrons vous apporter. Les portes de nos domaines vous sont ouvertes de tout temps et à toute heure même si c'était déjà le cas ajouta-t-il dans un sourire

Mon épouse ! dit-il en se tournant vers Aelys Que de temps perdu... Que d'heures passées à t'attendre san le savoir... Que de jours, de mois, d'années à venir et à passer auprès de toi... Je ne vais pas passer des heureus à décrire toute ce que j'aime chez toi car nos convives risqueraient de s'assoupir mais sache que s'il est bien un choix que jamais je ne regreterais c'est celui que j'ai fait il y a quelques heures...

Je t'aime... [/hrp]

[Après...]

La plupart des convives était partie, les amis proches avaient rejoint leurs appartements, la nuit était fort avancée et ils se retrouvèrent enfin seule... Embrassant son épouse et il l'entraina avec lui vers leurs propres appartements...

*****

Merci à toutes et à tous d'avoir participé...

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